Écrire, c'est jouer avec les mots. J'adore les assembler pour créer des phrases, des idées. Pourtant, je ne peux pas dire que ça a toujours été le cas. Comment ai-je soudainement pu les apprécier, à un point tel que je suis devenue dépendante d'eux ? Comment ai-je fait pour les comprendre, les apprécier ? Ou plutôt, comment ai-je fait pour vivre sans eux ?
Chaque mot, chaque encouragement me procure un sentiment intense de joie. L'écriture est un art trop solitaire, même si des dizaines de personnes nous aident. Car ce sont nos mots, nos pensées. Toutes les personnes qui lisent mon livre et m'en parlent ne s'en rendent peut-être pas compte, mais ils me touchent au plus profond. Parce que justement, c'est mon histoire. Alors je dis merci à toutes ces personnes qui m'ont aidée à avancer, qui m'ont motivée à faire de mon mieux. Victoria Glaus, ma toute première lectrice. Pour tous ses conseils, sa patience infinie, son optimisme sans bornes. Je n'en serais pas là sans vous. Eléonore, qui en demande toujours plus de ma part. Tu m'as toujours motivée à continuer même quand je n'en avais pas le courage. Ma meilleure amie Lélia et ses idées, qui a promis de tout relire avec moi même si elle détestait les racines de cette histoire. Tu as toujours réussi à me faire sortir de ma zone de confort. Plume d'Argent, qui m'a appris les rudiments de la lecture constructive, de la relecture et de l'écriture au niveau technique. Un grand merci à vous tous.
Merci aussi à toutes les personnes qui, de près ou de loin, ont contribué à cette histoire ; j'espère que vous vous reconnaîtrez. Pour son écriture, ses personnages, sa mise en page, sa relecture, sa magnifique couverture, mon moral aussi ;-)
Et merci à toi, Zaccharie, même si je ne te l'ai jamais dit. Sans toi, cette histoire n'aurait pas existé. Sans toi, je ne serais encore qu'une fillette. Sans toi, je n'aurais connu ni la douleur, ni l'amour. Sans toi, c'est simple : je serais quelqu'un d'autre.
Bref, bonjour !
Avant toute chose, je précise que tout ce qui va suivre n’est que mon humble opinion, et j’espère juste que mes remarques pourront t’aider le plus possible pour peaufiner ton roman ou au moins ton écriture. De plus, - ça peut avoir son importance ? - je ne suis pas une lectrice de romance. Cependant ! j’ai adoré cette histoire et il FALLAIT que j’écrive ce commentaire.
Navrée de commencer par ça, mais il y a une grosse incohérence (mais c’est la seule je crois) par rapport aux premiers secours dans le chapitre 28 : puisque Sélène vient de chuter du haut d’une falaise (d’ailleurs, quelle est sa hauteur ?) elle est ‘traumatisée’. Dans ce cas, il ne faut SURTOUT PAS la bouger (des fois qu’elle aurait la colonne fracturée, ou même n’importe quel autre os) (donc on oublie la PLS). Ensuite, si son cœur bat encore ce n’est pas la peine de faire un massage cardiaque. Tout ce que peut faire Maïwenn en attendant le secours, c’est sécuriser le périmètre, mettre la personne en sécurité (donc là pas besoin. Sauf si la mer monte) et la couvrir pour qu’elle n’est pas froid. Le compte-rendu du docteur n’est pas tout à fait cohérent non plus : elle peut en effet être dans le coma après un traumatisme crânien, et elle devrait avoir quelques fractures, ou hémorragies internes (en fonction de la hauteur de la falaise du coup). Par contre je ne sais pas qu’est-ce que l’éthique médical impose dans un cas comme celui-ci, mais pour le coup le sursis avant la mort me paraît logique, mais à vérifier donc ! En tout cas, le temps qu’elle passe à l’hosto est cohérent, en fonction de la gravité du traumatisme crânien et des potentiels fractures. Bon, ce n’était pas une partie très rigolote, désolée.
Ton style : fluide, doux, sensible, avec de très belles images, des figures de styles je trouve globalement bien employées, des descriptions que j’ai trouvé un peu longuettes (surtout au début, avec celle de la maison des Sherwood) et parfois des tournures de phrases qui m’ont paru étranges (« un océan ravagé par les flots » ?). Donc, en bref, une plume que j’apprécie énormément. J’ai repéré quelques coquillettes ou fautes d’orthographe par-ci par-là, mais rien de gênant dans la lecture.
J’ai trouvé le tout début du roman un peu vague : je comprends que c’est du fantastique mais comme il n’a pas trop d’explication et qu’il ne revient pas avant longtemps dans le récit, j’ai eu l’impression que la base était un peu bancale. Ceci dit, l’idée du rêve, et du rapprochement qu’elle fait subitement entre le garçon onirique et Léo, un peu comme si son inconscient lui transmettait un message, c’est super. Peut-être faudrait il juste du coup accentuer l’idée qu’il ne s’agit pas tout à fait d’un coup de foudre – enfin si c’est bien ce que tu veux transmettre.
Ensuite, du côté de Léo, j’ai pensé que ses sentiments étaient assez étranges : a-t-il toujours aimé Sélène en prenant ça pour de l’amour fraternel ou la considérait-il vraiment comme une sœur et meilleure amie, avant que les sentiments de Sélène et autres circonstances ne transforment ses propres sentiments ? Dans un cas comme dans l’autre (même si, à titre purement personnel, je préfère la seconde option qui le différencie de Sélène. Mais c’est juste moi, hein) tu pourrais le montrer dans son comportement (le fameux « show don’t tell »).
Les personnages. (Par quoi commencer ? ‘:D). Je les ai trouvés nombreux (je pense notamment aux amies de Sélène, et aux familles Gavillet et Sherwood, les parents et les sœurs de Sélène). Ce n’est pas vraiment un problème en soi, je pense qu’en caractérisant un peu les persos (en leur donnant un rôle, un caractère ou un trait physique spécifique pour bien les différencier), ça pourrait être tout de suite mieux. Après d’autres sont déjà mémorables et je les ai beaucoup appréciés : Sélène et Léo évidemment, mais aussi Marine, Chloé, Maïwenn, Sylane (bon c’est une pétasse mais elle est vraiment bien caractérisée pour le coup XD).
Ensuite j’ai trouvé le point de vue de Léo vraiment super, il apporte beaucoup au récit et le complexifie – en plus d’être un perso super. Cependant l’idée autour « d’écrire en pensée » je ne l’ai pas comprise tout de suite : c’est bizarre qu’il ne veuille surtout pas que ça se sache comme un secret honteux (personnes ne va lire dans ses pensées, non ?). Pour terminer, Sélène. Je me suis profondément identifiée à elle et c’est de loin mon personnage préféré, le cœur du récit d’après moi. Complexe, attachante, lumineuse, vivante, tempêtueuse ! J’avoue avoir été impressionnée puisque je m’attendais à ce que tous les passages sur ses sentiments soient barbants, mais tellement pas ! (Idem pour toute la partie d’attente, pourtant assez longue, entre le miroir du Riséd et la scène du piano). Je pense que ce sont ces passages-là, si sensibles, qui font la force de l’histoire.
Ma réaction au chapitre 27 a été : « WHAT THE FUCK. ELLE MEURT ?!?!?! ». Tout cela prouve que : a) j’avais complètement oublié le prologue et b) cette scène est bien, ce retournement m’a surprise. Pendant les chapitres juste avant à chaque fois que je voyais le mot « mort » je pensais « noooon c’est une blague ELLE VA PAS MOURIR QUAND MEME ». Enfin, le changement de ton entre la période d’amour et d’espoir de Sélène, sa période d’apathie puis l’arrivée brutale de la tempête, est, justement, brutal et inattendu.
– Bon là je suis navrée mais je vais devoir mettre les pieds dans le plat – désolée – c’est le point sensible de ce commentaire – si on regarde au niveau des stats, on voit que le nombre de lectures déclinent plus rapidement entre les chapitres 25 et 28, et c’est donc là que se situe le point le plus fragile, a priori. (Bon j’avoue je ne suis pas sûre non plus à 200% de ce que j’avance pour les ‘stats’) Ces scènes donc, partant du moment de l’apparition des envies suicidaires, posent « problème » (façon de parler !) parce qu’elles rompent complètement avec le rythme établi jusqu’ici, déjà parce qu’on bascule dans quelque chose de vraiment très sombre, avec un sujet difficile ; et aussi avec le retour soudain du fantastique (complètement oublié depuis les premiers chapitres). L’idée de l’ange est bien, j’aurais apprécié que cette scène, (le climax, non ? Sélène doit choisir entre vivre ou mourir, rien que ça !) pleine de potentiel, soit plus développée, par exemple la description de l’endroit, les sensations de Sélène, le dialogue avec Céleste. Ensuite, vient le fait que Sélène a le droit à un ‘effacement’ de sa TS. À titre perso, ça m’a laissé un petit goût amer, comme si elle évitait le problème au lieu d’assumer les responsabilités de son choix (ça ouvrirait aussi de nouvelles possibilités : conflit avec sa famille, la mener peut-être vers un autre état émotionnel). Après, ce ne sont que des suggestions et je reconnais que par la suite ça m’a paru plus logique. Enfin, juste un mot sur la scarification : j’ai trouvé ça un peu bizarre de voir le sujet arriver aussi tard dans l’histoire, (comme si Harry avait eu encore un autre combat à mener juste après la mort de Voldemort, mais beaucoup moins important), mais le thème reste très intéressant et mérite d’être utilisé à mon avis.
« Quelques » autres remarques :
- Combien de temps exactement dure l’histoire ? J’ai l’impression qu’elle s’étale sur plusieurs années mais c’est un peu flou.
- Des fois tu rappels le PDV au milieu d’un passage de Léo par exemple ; ce n’est pas nécessaire ou alors ce n’est pas voulu ?
- Sherwood ? (Oui, j’ai compris d’où ça venait ;). Je crains que ce patronyme ne soit pas très fréquent en Bretagne. Peut-être pourrais-tu l’expliquer par des origines étrangères de cette famille pour faire plus cohérent.
- Quoi ?! Aucune séance de voile racontée ?! Quelle honte. (Ceci était intrinsèquement subjectif)
- Par rapport au cadre spatial de l’histoire, je n’aurais qu’une seule chose à dire : BZH forever.
- J’ai remarqué que ce sont toujours les femmes qui font à manger et cuisinent ?
- La forme du récit est très bien choisie d’après moi ; j’ai beaucoup aimé les passages du carnet créatif, les citations aussi et, franchement, que dire des poèmes si ce n’est qu’ils transmettent à la perfection les sentiments de Sélène ?
- Tout ce qu’il y a autour des jeux de société est très cool et très original, c’est pas du tout le genre de truc qu’on s’attend à avoir de l’importance dans l’histoire mais tu t’en sors très bien. Les jeux sont toujours bien expliqués, mais je me demande si c’est la peine de détailler à chaque fois ?
- Ah, que de références littéraires !
Voilà, ce commentaire est beaucoup trop long c’est n’importe quoi désolée. Je souhaite de tout cœur que ce pavé pourra t’aider et, une dernière fois, cette histoire a un énorme potentiel. Enfin… Je ne sais pas à quel point cette histoire est la tienne, qu’est-ce qui est fiction et qu’est-ce qui ne l’est pas. Toutefois, je voudrais te féliciter, sincèrement, pour ton courage. Cette histoire était profonde, émouvante.
Bonne continuation pour tes écris,
Scelle tes charmes,
Corneille
PS : Mention spéciale pour le <3
Je ne sais pas par où commencer… J’ai longtemps cherché comment répondre à ce commentaire qui m’a tellement touchée, au plus profond de mon cœur. La première fois que je l’ai lu, j’ai eu dû mal à aller jusqu’au bout parce que mes yeux étaient embués de larmes ! J’ai été touchée par la vitesse de ta lecture (et que donc, mon roman est addictif…), d’autant plus que tu ne lis que peu de romance… Et que tu t’es tout de même attardée par ici. Alors merci. Je vais probablement me répéter, là-dessus. Oh, et pour info, cette réponse va être très longue aussi ;-) Je reprendrai toutes tes remarques, ce sera probablement plus simple.
Premièrement, je prends note de tous ces conseils sur la chute de Sélène et ce qui s’ensuit. J’avoue y être un peu – beaucoup – allée au hasard, sans prendre le temps de m’attarder sur la véracité potentielle des faits. Je me renseignerai plus en avant pour la relecture, d’ailleurs il doit sûrement y avoir quelqu’un de compétent dans notre communauté PAenne.
Merci pour ta gentillesse (et indulgence, car il a sans doute besoin d’être travaillé à certaines endroits) sur mon style. Ça me va droit au cœur (encore, je sais, mais c’est vrai <3 ). Concernant les descriptions : je suis en train de faire le ménage =) J’ai presque réécrit le premier chapitre complet, et quelques autres vont subir le même sort, pour rendre l’histoire le plus fluide possible. J’essaierai aussi de faire la chasse à ses tournures étranges. J’avoue ne jamais avoir remarqué l’étrangeté d’un « océan ravagé par les flots »… Mais c’est bien réel ‘:D
Au risque de me répéter : j’espère que la « bancalité » (ça se dit… ? ) du début va disparaître avec la réécriture. En effet, je ne voulais faire intervenir le fantastique qu’à la toute fin (avec Célestine), même si quelques événements qui peuvent paraître un peu surnaturels (comme le rêve) font déjà des apparitions. Et oui, je prends note de mettre en avant que Sélène connaît déjà Léo, y compris en rêve, et qu’elle est déjà tombée amoureuse « de lui » (enfin de l’inconnu de la balançoire, dans ses rêves, mais ça revient au même).
Pour Léo : un personnage compliqué, même pour moi ! Je pense en effet qu’il considère Sélène comme sa meilleure amie, voire sa sœur, mais pas plus jusqu’à ce que ses sentiments soient bouleversés par ceux de la jeune fille. Je disperserai quelques indices à ce sujet =) De plus, concernant ses points de vue. Je pense que ce sont eux qui ont le plus souffert par rapport à mon indécision. Au début, je le faisais « écrire en pensée », mais je me suis vite rendu compte que quelque chose clochait, même si j’étais incapable de déterminer quoi. Donc je suis passée à un point de vue « normal », seulement dans sa tête, ce que j’ai préféré (c’est aussi plus facile pour moi, du point de vue « auteur »).
Pour les personnages de manière générale : je sais. Il y en a beaucoup, beaucoup, beaucoup. Petit spoil : pour le deuxième jet, je garderai les deux familles complètes, mais j’enlèverai de nombreuses amies de Sélène, qui finalement, sont utiles uniquement à certains moments de l’histoire… Après tout, qui se souvient de Maria, Julien ou encore Yohann… ? Je pense que je garderai deux ou trois personnages, qui incarneront le rôle de plusieurs du premier jet. Je sais pas si c’est très clair… Mais je les caractériserai un maximum (c’est déjà commencé pour les frères de Léo, haha !). Merci aussi pour le commentaire sur Sylane : je suis contente que le résultat soit réussi et qu’elle incarne la *** parfaite…
Pour Sélène… Merci, merci, merci ! JAu début, j’avais peur que ce personnage soit barbant et, euh, comment dire… faux ? J’avais peur d’une fille superficielle, dont on comprend mal ou pas du tout les sentiments. Je suis si heureuse de savoir qu’au contraire, Sélène est attachante ! (Car il faut l’avouer, j’imagine : Sélène me ressemble quand même beaucoup ‘:D ) Je voulais surtout démontrer l’amour innocent et à quel point il peut être dangereux. Donc promis, je garderai la première partie quasiment intacte sur la longueur.
Je suis contente que le chapitre 27 soit si… inattendu (et pourtant, j’ai quand même laissé de nombreux indices, qui se fondent visiblement très bien dans le décor). J’entends aussi le « problème » de cette partie du roman, mais pour l’instant, même si je retravaillerai ces passages, j’ignore encore comment faire une transition « plus douce », peut-être. Je réfléchirai à un moyen de le faire (si je le fais), mais si tu as des idées, n’hésite pas ! Après, il ne faut pas oublier non plus que pour Sélène, c’est la même chose : elle est guillerette, innocente, et tout à coup, elle passe dans ce côté obscur de la vie, sans savoir comment réagir face à cette tempête de sentiments.
Et Célestine… Mon ange gardien préférée ! Elle est la seule véritable touche de fantastique du roman… Peut-être que je devrais enlever la mention « fantastique », car visiblement, ça induit les lecteurs en erreur. Je me suis souvent demandé (oui, oui, je me demande beaucoup de choses sur mes propres œuvres ‘:D ) si c’était l’inconscient de Sélène qui se manifestait de cette manière. C’est une possibilité, mais chacun est libre d’interprétation ! Je m’occuperai de cette scène plus en détails, je me range à ton avis en disant que c’est important <3
J’ai longtemps hésité sur la façon d’aborder « l’après » d’une TS. Parce que ça bloquait pour la suite de l’histoire… Mais ça aurait paru bizarre de faire comme si de rien n’était. Finalement, j’ai choisi cette option – effacer la mémoire de son entourage – pour laisser une deuxième chance « complète » à Sélène, avec elle seule comme obstacle, et pas la pitié de sa famille, qui la traiterait comme une fleur de verre. Mais je comprends ton point de vue. Pour la scarification : j’avoue que je ne m’en étais pas rendu compte. Mais – mais ! – j’ai une explication. Je pense qu’avant, Sélène souhaitait juste faire disparaître la douleur, et le moyen qu’elle avait envisagé pour le faire était uniquement la mort. Et quand la mort lui a été « interdite » (par son pacte avec Célestine), elle a trouvé une autre échappatoire. Cependant, je pense que tu as raison, et que la scarification pourrait sans autre intervenir bien plus tôt dans l’histoire. J’y veillerai ;-)
Cette histoire dure environ deux ans, depuis la première après-midi jeux jusqu’à l’épisode de la balançoire (Sélène fête ses 16 ans le jour de sa TS, donc elle a environ 14 ans au début).
Les points de vue de Léo : comme les cœurs pour Sélène, ils annoncent non seulement le PDV du narrateur, mais aussi des bonds dans le temps. Peut-être n’était-ce pas très clair…
Bonne idée pour les origines des Sherwood ! J’avais pris ce nom parce que j’aime bien le son qu’il produit, mais leur donner un passé géographique les rendra plus vivants : je garde !!!
La voile : il faudra que j’aille faire une initiation… ‘:D (Cet été peut-être.) Mais je veillerai à insérer une sortie en mer, promis. Il peut sûrement se passer mille choses sur ce bateau, hahaha !
Pour la Bretagne : merciii d’aimer cette histoire jusque dans son environnement <3
Je n’avais pas remarqué que les femmes étaient toujours à la cuisine… aïe aïe aïe les clichés ! Je changerai ça.
Merci, merci, merci, et encore merci pour tous ces compliments (sur la forme cette fois !). Je suis contente que la diversité ne soit pas… trois diverse, justement. Merci aussi pour ton œil averti sur les références littéraires <3
Pour les jeux de société, je vais probablement créé un lexique à côté, avec une mini-explication pour chaque jeu. Ce sera moins barbant pour le lecteur, surtout pour les joueurs aguerris qui connaissent déjà ! Je veillerai à mettre en avant les particularité utiles au jeu.
Alors voilà. J’espère que ce n’est pas trop long (si, bien sûr que ça l’est, mais chut ;-). Désolée pour le temps que j’ai mis à te répondre (mais j’ai dû digérer mes émotions <3). Merci encore pour tous tes mots, qui me touchent droit au cœur. Je ne te serai jamais assez reconnaissante.
Scelle tes charmes
A.
Merci beaucoup pour ta gratitude, ça me fait énormément plaisir d’avoir pu te faire plaisir et t’aider. Ne t’inquiète pas pour l’attente rien ne presse :)
Je pense que ce qui m’a autant plus avec ta romance, c’est le fait qu’elle va complètement à l’encontre des schémas classiques (bon après je n’ai pas une très grande expérience en la matière mais l’histoire d’un chagrin d’amour avec un happy end ça ne me paraît pas très fréquent!)
Pour ce qui concerne les détails des premiers secours je reste à ta disposition si tu as des questions (j’ai fait une formation et vis entourée de médecins) mais sinon je suis sûre qu’une plume plus professionnelle pourra te répondre.
Bon courage pour ta réécriture ! Je me répète peut-être mais ta plume est vraiment très agréable à lire et j’ai surtout aimé les moments plus « sentimentaux ». Et si si « bancalité » ça existe.
Par rapport aux PDV de Léo, je pense qu’il serait tout à fait possible de « mixer » les deux modes en gardant le meilleur de chaque (à la fois la clarté et son ressentit profond). Mais en fait on est toujours un peu entrain « d’écrire en pensées », non ?
Ce que tu prévois pour le deuxième jet m’a l’air très bien :) Je pense que Sélène est un bon personnage parce que proche caractériellement des lecteurs (surtout pour une fan de la Passe-Miroir sur PA…) (Archibald et Victoire sont mes persos préférés).
En effet le chap 27 est brutal, mais je ne considère pas du tout ça comme une faiblesse ! Même si c’était assez flippant de voir Sélène basculer aussi vite. Mais très bien réussi.
J’adore ton interprétation sur l’inconscient de Sélène qui se manifeste à travers Célestine !
En effet pour le fantastique on est un peu sur un entre-deux, mais tu pourrais facilement passer d’un côté ou de l’autre sans problème je pense.
« Fleur de verre » : jolie métaphore ! Mais plus sérieusement si c’est ton choix scénaristique d’autrice de faire comme ça, ça roule très bien (par contre le sortilège d’oubliette est vraiment fantastique pour le coup).Ton explication pour la TS qui vient avant la scarification est cohérente, du coup il faut juste la mettre dans le roman ^^
Plutôt que de remettre qui est le narrateur tu peux juste mettre « x temps plus tard » ou le faire dire tout simplement au perso (ce serait plus limpide).
Rien ne t’oblige à écrire une scène en mer ’>D c’est juste moi qui suis obsédée par les bateaux (mais c’est vrai que ce serai bien!) (désolée c’est symptomatique).
Très bonne idée le lexique des jeux de société ! c’est vrai que je n’en connaissais pas beaucoup mais pour ceux auxquels j’avais déjà joué c’était chouette de voir ça dans un roman (cf les interminables parties de loup-garou où des débiles s’amusent à te mettre en couple avec n’importe qui).
Ahah encore un commentaire à rallonge (si seulement je pouvais être aussi productive quand il s’agit d’avancer mon roman… :’-) je te re-remercie pour ton histoire que j’ai vraiment aimé commenté.
Scelle tes charmes,
Corneille
Je ne peux qu'être d'accord avec toi ;-)
Je te demanderai si j'ai besoin de précisions concernant les premiers secours, mais tu as déjà fait beaucoup en éclairant de nombreux points !
Pour Léo, effectivement, on écrit toujours un peu "en pensée", donc je vais probablement garder une narration "classique", d'autant plus que le narrateur présent (par rapport à celui du PDV de Sélène, qui est absent) accentue la présence de Léo.
Je ne me souvenais pas d'avoir fait plusieurs allusions à la Passe-Miroir ':D Mais j'ai un faible pour Thorn et Gaëlle, haha ! Même si j'admire aussi Archibald...
Je glisserai l'explication sur la scarification, et garderai quand même l'expérience en mer (j'ai quand même fait une fois du bateau sur le lac Léman, j'ai adoré, alors en mer, ça doit juste être incroyable).
Je réfléchis encore pour l'oubli de sa famille, je pense que cette question attendra jusqu'à ce que je me retrouve nez à nez avec le problème =)
Et je suis d'accord pour le loup-garou, une vraie plaie, ce Cupidon, parfois !
Scelle tes charmes
A.