V. LA REVELATION

Les Oracles du royaume se trouvaient chez lui, en chair et en os. Quelque chose clochait, et pas seulement la tentative d’assassinat à laquelle il venait d’échapper. Cet honneur n’avait ni queue ni tête. Tout le monde savait que ces trois femmes n’avaient pas pour habitude de faire le déplacement. Cela n’arrivait pour ainsi dire jamais ! À la place, elles avaient pris l’habitude d’envoyer leur image illusionnée aux familles qu’elles visitaient. Il était donc plutôt commun de voir apparaître au beau milieu de son salon (quand leurs calculs étaient bons, tout du moins, car Georgia les avait vus apparaître alors qu’elle prenait un bain) l’hologramme de ces vieilles dames. Personne ne s’en offusquait jamais, d’autant que l’on attendait toujours avec beaucoup impatience le message qu’elles apportaient. 

            Comme Mélusine, les Oracles étaient capables de voir l’avenir. La comparaison s’arrêtait là car même si la sœur d’Arthus était une mage talentueuse, le don de ces matriarches était d’une puissance inégalable. En effet, la synergie de leur pouvoir leur donnait accès à une information hautement convoitée : la Destinée, véritable feuille de route sans laquelle aucun mage n’aurait jamais osé sortir de chez lui le matin. Les habitants du royaume d’Écosse, bien qu’insupportablement orgueilleux, étaient curieusement dociles et peureux. S’aventurer au-dehors sans mission n’aurait été que folie. Tout le monde suivait donc le même parcours qui consistait à servir la Cause sans distraction et sans rechigner, option ne pas faire de vague. Tel était finalement le but ultime de leur vie.

            Bien sûr, même si le don d’un mage le prédisposait naturellement à exercer certains métiers, les Oracles avaient toujours le dernier mot. Elles savaient mieux que personne si un membre du clan des Alchimistes devait plutôt devenir Calligraphe ou Guérisseur ou s’il valait mieux que tel Distordeur soit Télépathe ou Passeur. C’est ainsi que les mages ne choisissaient jamais la guilde qu’ils rejoignaient et aucun d’entre eux n’aurait pensé à contredire les visions des trois femmes. S’en tenir à la Destinée était la garantie d’éviter les ennuis. Chacun à sa place et les kelpies seraient bien gardées.

            Depuis l’arrivée des Oracles, Arthus ne cessait donc de se demander ce qui lui valait le privilège d’une rencontre. N’avaient-elles donc rien de plus important à faire que de venir visiter quelqu’un comme lui ? Tant que son don ne se serait pas manifesté, les Oracles ne pourraient pas le confier à une guilde, pas plus qu’elles ne pourraient valider le début de son apprentissage. 

            Malheureusement pour Arthus, rien sur le visage de ces trois femmes ne trahissait leur dessein.

            La première Oracle, qui était aussi la plus petite et la plus rachitique, arborait la mine émerveillée d’une enfant de cinq ans. Si elle s’était présentée seule chez les Pumpkin ce jour-là, leur rencontre aurait pu prendre l’allure d’une visite de courtoisie. C’était sans compter sur la deuxième Oracle, qui, à sa droite, affichait l’air sinistre d’une chouette prête à fondre sur sa proie. Comme ses sœurs, elle portait la toge traditionnelle de sa guilde, mi-béret, mi-chapeau de sorcière au sommet affaissé, autour de laquelle plusieurs cerceaux s’entrecroisaient grâce un mécanisme qu’Arthus s’expliquait mal. Entre les breloques en forme de lune et d’astres qui gravitaient en orbite sur ces anneaux argentés, la paupière de son œil gauche dévoilait un globe oculaire légèrement plus exorbité que l’autre. Cela accentuait son air de rapace revêche. La dernière Oracle, elle, possédait les traits les plus sages. Elle observait Arthus avec le calme et le recul de celui qui sait. Arthus se sentit transpercé par sa clairvoyance qui raviva aussi sa culpabilité. L’avait-elle vu lire ? Il ne put s’empêcher de penser que s’il avait fait preuve d’un peu plus de discrétion, les trois vieilles dames ne se tiendraient pas dans le hall de sa maison aujourd’hui.

            Il les observait avec une curiosité mal dissimulée. Un seul élément liait les matriarches du royaume. 

            Leurs yeux. 

            Complètement opaques, ils semblaient avoir été éprouvés par la puissance de leur don ; comme si chaque vision dans laquelle des destins s’étaient matérialisés avait exigé de ces femmes de sacrifier un peu d’elles-mêmes. Les Oracles étaient condamnées à voir sans pouvoir voir. Elles étaient complètement aveugles. 

            Arthus, comme un pantin désarticulé, fut arraché à ses pensées par sa mère qui venait de le saisir par les épaules.  

            — Mon garçon, regarde-moi. Tout ira bien. Allons-y. 

            Élisabeth Pumpkin ouvrit les portes du salon avant d’inviter les Oracles à la suivre avec déférence. Sans tarder, toutes les sœurs Pumpkin, leur père et leur grand-père s’engouffrèrent dans la pièce à vivre. Arthus, lui, y entra le dernier. Il aperçut alors sa mère qui plongeait sa main dans l’une des poches de sa robe. Elle en sortit une petite fiole en cristal, pleine d’un liquide violet chatoyant. Elle la déboucha sans attendre puis fit perler trois gouttes de cet étrange élixir sur les feuilles de l’unique plante verte qui agrémentait la pièce. 

            Après un léger soubresaut, des bourgeons se mirent à éclore de part et d’autre des rameaux. Quelques-uns d’entre eux se développèrent en de longues pousses desquelles de nouvelles tiges naquirent à leur tour. Elles s’allongèrent et s’épaissirent au point de se muer en de véritables branches. De fragiles, elles se firent robustes. Sous les coups de rabots d’un menuisier invisible, l’assise de trois chaises commença à se dessiner. Doucement, les branchages se nouèrent pour modeler trois dossiers finement sculptés. La plante verte, sans jamais se déraciner, venait de donner naissance à trois magnifiques fauteuils à accoudoirs. Les Oracles s’y installèrent tranquillement. 

            Arthus avait dû jouer des coudes pour assister à ce tour de force. Dans ce monde où la magie était ordinaire, il était le dernier à s’extasier de telles prouesses. Mais ce jour-là, l’inquiétude avait commencé à se nicher insidieusement dans sa poitrine. Derrière lui, ses sœurs s’étaient agglutinées comme si la proximité de leurs corps pouvait amortir le choc de l’annonce qui n’allait pas tarder à venir ; annonce qu’il avait de plus en plus de mal à ignorer.

            C’est alors que, d’une seule et même voix, les Oracles s’exprimèrent pour la première fois.

            — La position des osselets ne laisse plus de place au doute, fit la première.

            — Et le temps l’a démontré, enchaîna la deuxième.

            — Les ancêtres ne t’ont pas légué de don, assura la dernière.

            — Le garçon est un Don à rien, lancèrent-elles de concert.

            Le cœur d’Arthus loupa un battement. Comment avait-il pu se voiler la face aussi longtemps ? Quelle autre raison aurait pu venir justifier sa capacité à lire ? Depuis deux jours, il était capable de faire chanter les lettres, de les combiner, de donner sens à une foule de symboles qui, hier encore, étaient un mystère. Cela n’était pas facile, mais il y parvenait. Mlle Lang Fourchue avait peut-être raison : écouter des histoires l’avait perverti. Il n’aurait jamais dû laisser courir ses yeux sur les lignes qui composaient les pages des romans qu’il écoutait. Il avait percé le mystère de la lecture, ce qui était d’une vulgarité affligeante.

            À ces mots, Catriona étouffa un cri en couvrant sa bouche à deux mains et, près d’elle, Lilly se mit à pleurer. Georgia offrit aux Oracles son regard le plus noir tout en essayant de réconforter la petite dernière. En vain. Molly et Gilly, elles, restèrent muettes, les yeux aussi ronds que deux moules à sablés. Anastasia, de son côté, étouffa un hoquet de stupeur tandis qu’Émily caressait frénétiquement Morduc tout en fixant Arthus d’un air désolé. Son père et son grand-père, comme à leur habitude, compatissaient en silence. Élisabeth Pumkin, elle, s’effondra sans un mot sur le premier tabouret qu’elle trouva. Mélusine, sans cesser de serrer contre son cœur son livre de recettes de soupe à l’oignon, se leva du canapé pour la rejoindre.

            Le diagnostic des Oracles était sans appel et, compte tenu de la réaction de sa famille, Arthus devait bien admettre que le mal dont il était atteint paraissait plus terrible encore que ce que l’on racontait. Il ne savait pas grand-chose à propos des Dons à rien, si ce n’est que leur capacité à lire faisait d’eux les membres d’une guilde sans étendard, sans tartan et sans reconnaissance. Les membres de ce clans qui n’en était même pas un, malgré les services rendus, ne récoltaient que mépris et moqueries.

            — C’est vraiment possible ? parvint-il enfin à formuler.

            — Oui, Arthus. Les Matriarches pensent que tu n’as pas de don, est-ce que tu comprends ce que ça signifie ? s’enquit sa mère.

            Cela, il l’avait parfaitement compris. S’il avait été moins effrayé, moins honteux aussi peut-être, il aurait même pu avouer que cela faisait quelques jours qu’il avait commencé à s’en douter.

            Aindrea Butler, ce nom continuait d’occuper toutes ses pensées.

            Se pouvait-il qu’une famille soit à ce point maudite pour que plusieurs Dons à rien naissent en son sein ?

            — Et… ça arrive souvent, de ne pas avoir de don ? formula finalement Arthus.

            Élisabeth ne répondit pas immédiatement.

            — Je dois bien avouer que c’est plutôt rare, finit-elle par annoncer. D’après les recensements, on estime qu’un, deux tout au plus, naissent chaque année au sein du Royaume.

            — Est-ce qu’il peut y en avoir plusieurs parmi les membres d’une même famille ? Parce que notre citrouille généa...

            Il s’arrêta. Était-ce vraiment une bonne idée d’avouer qu’il savait déjà lire ? Loin d’être un don, lire était une sorte de malédiction épuisante. Alors que les mages naissaient en laissant éclater à la face du monde leur merveilleux pouvoir, les Dons à rien, eux, devaient s’abaisser à fournir un effort pour lequel ils n’avaient pas été préparés pour espérer parfaire le fruit de leur infortune.

            — Il doit faire ses valises, ordonna brusquement l’une des Oracles en se levant péniblement de son fauteuil.

            Gilly posa un regard inquisiteur sur son petit frère qui n’avait pas tressailli à cette annonce, tout concentré à tenter d’analyser l’absurdité de la situation. Sans la présence des trois femmes, elle aurait sûrement essayé de s’introduire dans ses pensées afin de savoir ce qui pouvait bien l’inquiéter davantage que le fait de devoir quitter la maison sans plus d’explication.

            — Comment ça, il doit faire ses valises ? s’offusqua soudain Élisabeth Pumpkin à sa place, ranimée. 

            — Le garçon est attendu dès ce soir au magistère général, expliqua la deuxième Oracle tout en tapotant avec le pommeau de sa canne une liane qui s’était enroulée autour de son poignet.

            — Il entrera en fonction en tant qu’assistant magistre, ajouta la dernière.

            — Les osselets sont formels, entonnèrent en cœur les Oracles.

            D’un pas lent mais décidé, les trois femmes se dirigèrent vers la porte d’entrée. 

            — Il est l’heure, dit l’une.

            — Tes effets personnels te seront livrés plus tard, ajouta l’autre à l’attention d’Arthus.

            Arthus se tourna vers sa mère. Immobile au milieu du hall d’entrée, les lèvres désespérément closes, celle-ci se mua dans un silence coupable. Il comprit alors que personne ne s’opposerait à ce que les Oracles l’emmènent, pas même elle. Il avait suffi que ces vieilles femmes, plus ridées que des pruneaux, proclament avoir vu sa Destinée dans l’orientation de vieilles phalanges de gnome des bois pour que tout espoir s’évanouisse. D’ailleurs, pouvait-on parler de Destinée concernant une vision aussi fataliste ? C’était ça, son avenir ? Gratter du papier à longueur de journée ? Enregistrer sa voix dans le bigornographe pour instruire une bande de mages trop fainéants pour s’abaisser à la tâche ? 

            Arthus fût surpris par son propre agacement. Peut-être les Oracles avaient-elles raison : il n’était pas comme les autres habitants du royaume qui se réjouissaient qu’on leur dicte ce qu’ils devaient faire. Il n’avait pas envie d’être un Don à rien. Cela n’avait rien de rassurant et la réaction de sa famille ne le détrompait pas. Tout à coup, la plus douloureuse des pensées prit forme dans son esprit. 

            Ils savaient. 

            Tous les membres la famille Pumpkin savaient qu’il était vide de don. Les livres de son père ne pouvaient pas mentir. Il avait été élevé au cœur d’un mensonge. Peut-être ses parents avaient-ils essayé d’étouffer leur propre intuition à coup de cours particuliers mais, au fond, Arthus ne doutait pas que la sinistre vérité devait avoir gagné jour après jour du terrain dans leur cœur.

            — Attendez ! Laissez-nous une minute ! cria soudain Mélusine. On ne va pas le laisser partir comme ça. Vous savez comment sont traités les sans pouvoir. Il ne tiendra jamais le coup.

            — Mélusine a raison, expliqua alors Georgia en s’extirpant de l’entrelacs formé par ses sœurs. Si Arthus était resté à Wintertown, j’aurais pu créer des illusions tellement terrifiantes que personne d’autre que nous n’aurait osé s’en prendre à lui. 

            — Oui, confirma Mélusine. Il ne tiendra pas une semaine à Castlerock sans notre aide.

            Voilà qui était rassurant. Arthus avala bruyamment sa salive et, avec elle, la verve dont il avait fait preuve un peu avant. Que pouvait-il bien advenir des garçons comme lui au magistère général ? 

            — Le temps nous est compté, protesta l’Oracle-chouette, visiblement agacée par cette fougue fraternelle. 

            Élisabeth Pumpkin interrogea du regard son mari qui confirma d’un léger hochement de tête les faits énoncés par ses filles. 

            — Bien. Nous pouvons peut-être faire don à Arthus d’un artificium.

            Comme d’habitude, les évènements se déroulaient comme si Arthus n’était pas là. Il semblait plus transparent que jamais. Si, quelques instants plus tôt, on ne lui avait pas annoncé qu’il était un Don à rien, il aurait presque pu croire qu’un don d’invisibilité venait enfin de lui être accordé. Qu’est-ce que pouvait bien être un artificium ?

            Les six sœurs opinèrent derechef puis se rassemblèrent aussitôt en cercle autour de leurs parents. Élisabeth Pumpkin, au centre, leva un doigt au ciel. Du bout de son index, elle traça dans les airs un symbole qui s’illustra en une aura bleutée parfaitement symétrique. Au lieu de s’effacer, celle-ci se maintint, planant au-dessus du cercle formé par la famille d’Arthus. Arthus tendit l’oreille mais n’intercepta que des chuchotements confus. Tout à coup, ce qu’Arthus avait réussi à identifier comme une rune, disparut en un flash lumineux.

            Quand la lumière se dissipa totalement, Mélusine s’approcha d’Arthus. Elle lui tendit un livre aussi puant que familier. Le garçon se concentra et ânonna mentalement : « Soupes à l’oignon revisitées ». 

            Arthus leva les yeux vers sa famille et ne put s’empêcher de penser que tout ceci ne devait être qu’un affreux malentendu.

            Elisabeth Pumpkin s’approcha de lui et enserra son visage de ses deux mains.

talents.

            — Ne laisse personne te faire croire que tu n’as aucune valeur. Ce qui semble vide recèle parfois de nombreux secrets et autant de talents.

            — En citrouille ! s’exclamèrent les Matriarches.

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Pluma Atramenta
Posté le 27/01/2021
Salut Pénéloplop !

J'ai passé d'excellents moments de lecture avec ces cinq premiers chapitres : ils ont laissé sur ma bouche une sensation sucrée, une saveur de friandise. *Vacuum* est en fait exactement le genre de livre que j'aurai aimé découvrir à onze ans. Fluide, doux, savoureux, magique ; ni trop plein, ni trop vide : parfait. Non pas que je regrette de le découvrir maintenant, hein ;)
Je le qualifierais, d'un point de vue tout personnel, de pure pépite littérature jeunesse ! Sans chercher à diminuer les vastes étendues de ton vocabulaire, tu réussis à maintenir un style assez "rond" (je ne crois pas que ce terme soit très clair, mais je le trouve très adapté XD) un rythme bien soutenu et un univers fantasy absolument alléchant... (du moins de ce que tu en laisses entrevoir pour le moment ;))
Je retrouve avec ce récit plusieurs éventuelles inspirations. Déjà celles mythologiques (notamment avec l'idée des Oracles) mais aussi des aspects de la Passe-Miroir sous certains angles, d'Harry Potter (ceci repose surtout sur le nom de "Lang Fourchue" qui porte assez clairement la signature de J.K Rowling) ou de *La Ville Sans Vent*. En effet, je trouve en ta plume beaucoup de ressemblance avec celle d'Eléonore Devillepoix (qui, avant d'être publiée, postait par ailleurs sur PA). On y lit comme une bienveillance, une certaine douceur, et également une bonne louche d'humour !
Je compatis déjà avec Arthus. Dès le premier chapitre, il a reçu presque la totalité de mon affection pour sa maladresse, sa sorte de réserve hésitante, son tempérament prudent. A la lecture de ce dernier chapitre, d'ailleurs, je plains vraiment sa situation. Hop ! Un lien d'empathie déjà connecté entre le personnage et le lecteur : bravo ! <3

Bien. Maintenant, il me semble n'avoir plus grand chose à ajouter... A si, finalement ! Je devrais peut-être me joindre aux clameurs de tes lecteurs scannant en chœur un "LA SUITE, LA SUITE !!!" tonitruant. Ca serait plutôt une bonne idée, n'est-ce pas ?

Bonnes inspirations à toi <3
Pluma.
peneplop
Posté le 06/10/2023
Un grand merci pour ton commentaire tellement encourageant ! <3
GueuleDeLoup
Posté le 18/11/2020
Coucou Pénéplop!
C’est grâce au HO que je me suis retrouvée sur ton histoire et pour le moment, j’avoue que c’est un régla. Ca sa laisse manger comme une friandise! J’adore tout, depuis la fratrie déjantée, l’attachants Arthus, les moults petits détails de ton monde magique et surtout la soupe à l’oignon.
Pour moi, il s’agit d’un véritable coup de coeur. Je n’ai qu’une seule critique à émettre: ton dernier chapitre a été posté il y a trop longtemps! Vite, la suite <3
peneplop
Posté le 06/10/2023
Merci à toi pour ta lecture ! Je reprends l’écriture, c’est parti !
Smi
Posté le 12/11/2020
Encore un très bon chapitre. On voit que tu as vraiment travaillé les dialogues et les descriptions pour plonger le lecteur dans ton univers, et chacun est bien amené pour faire avancer l'histoire.
J'ai hâte de lire la suite.
peneplop
Posté le 06/10/2023
Merci beaucoup pour ton retour chaleureux !
Zosma
Posté le 26/09/2020
Bonjour !
Alors je tiens à te dire que ces premiers chapitres sont vraiment bons, l’univers a l’air très bien construit et intéressant, on a vraiment envie d’en savoir plus.
Tu fais de très belles descriptions. Chaque personnage à quelque chose d’unique. Et puis on s’attache facilement à Arthus. En fait c’est une écriture toute douce et qui fait du bien, elle me rappelle vraiment les livres jeunesses que je lisais quand j’étais plus petite.
En tout cas, l’histoire commence à se mettre en route, hâte de voir vers où ça va mener et comment Arthus va s’en sortir.
Bref, continues comme ça !
peneplop
Posté le 06/10/2023
Un grand merci !
Josephine Edward
Posté le 21/09/2020
Olala j'ai tellement de savoir la suite ! Le chapitre suivant sera mis en ligne quand ?
Pauvre Arthus, que lui réserve le magistère ? Tout ça ne me dit rien qui vaille ! Je sais pas si mon intuition est bonne mais je sens qu'en fait il n'est pas Vacuum et que son don va se révéler au magistère.
peneplop
Posté le 06/10/2023
Coucou ! Jeté réponds… 3 ans plus tard. Je reprends l’écriture ;)
Cocochoup
Posté le 12/08/2020
Hiii j'ai hâte de voir comment tu vas dérouler le reste de l'histoire. Je n'en dirai point trop pour ne rien spoiler à ceux et celles qui découvrent.
Je ne saurai dire exactement les modif que tu as faite, mais ça marche super bien. Il y a un quelque chose de plus consistant dans ces chapitres ❤️
peneplop
Posté le 06/10/2023
Merci à toi <3
The Pighead
Posté le 12/08/2020
Et... checkpoint pour le moment. Définitivement, tout cela s'épaissit de chapitre en chapitre. J'commence un peu à me douter de la tournure que tout cela va prendre et de ce qui se passera au fil du temps pour Arthus (ou alors j'aurai tout faux, qui sait ?), mais en tout cas, je ne peux pas nier que ce rattrapage des chapitres manqués fut une bonne décision.

Et j'ai hâte de savoir ce que la suite va nous réserver !
peneplop
Posté le 06/10/2023
Merci pour ton message ! A très vite !
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