Songes

Notes de l’auteur : Ce premier chapitre n'en est pas un. Il s'agit de l'un des nombreux "songes" qui vont ponctuer le récit.
En espérant que celui-ci ne heurte pas trop votre sensibilité. Bonne lecture.
(TW : tentative de viol)

Il était là, face à elle, majestueux et impressionnant, terrifiant même, le visage divisé dans le sens de la longueur par cette excroissance d'acier qui tombait de son casque pour lui protéger le nez, une cotte de maille jetée par-dessus une chemise en lin bleu qui faisait ressortir encore plus ses prunelles azur irréelles et froides comme l'hiver qui venait de s'abattre sur le pays. Son épée cliquetait à chaque mouvement, rendant chaque pas plus menaçant encore, et cette hache qu'il traînait sur le sol, grattant la neige, laissant un sillon parallèle à l'empreinte de ses pas. Il fit encore un pas dans sa direction, ses lèvres ne formant plus qu'un pli sévère, ficha sa hache dans le sol, provoquant un petit cri de stupeur chez elle tremblante de froid et de peur. D'un mouvement preste, il ôta ce casque martelé de coups, et délivra une cascade de cheveux noir de jais qui vint se répandre sur ses épaules. 

Recroquevillée contre la porte d'une maisonnette dont le toit de chaume n'était déjà plus que cendres éparses, elle ramassa un pan de sa cape pour la ramener contre elle, cherchant à disparaître de la vue de l'envahisseur qui ne cessait, pourtant, de l'observer avec cet air indescriptible. Il s'accroupit à sa hauteur avec brusquerie, comme pour chacun de ses gestes, et attrapa le menton de la pauvrette entre ses mains puissantes et rugueuses. Elle allait mourir, elle le savait, tout n'était plus que viol, pillage et bain de sang. Des barbares. Combien de fois avait-elle déjà été témoin du récit de quelques miraculeux rescapés, contant la sauvagerie et la violence de ces troupes venues du Nord ? Enfer et Chaos, c'est tout ce qu'ils laissaient dans leur sillage.

Elle serra les dents, murmurant une prière aux dieux, leur implorant une mort rapide pour qu'elle ne connaisse pas l'ignominie d'être prise de force. Les paupières plissées, les poumons saturés de cette insidieuse et âpre fumée, les lèvres en mouvement, il lui sembla que cet instant durait une éternité. Qu'attendait-il pour lui fendre le crâne d'un coup de hache ? Elle rouvrit les yeux, il la fixait toujours, l'air indéchiffrable, entre douleur et rage. Ses doigts se firent plus douloureux sur son menton alors qu'il serrait, serrait encore. Puis il relâcha son visage envoyant sa tête voler contre le bois de la porte, cognant légèrement celui-ci. Il fuyait son regard ? Qu'importe, le viking s'était redressé, semblant mesurer deux mètres de muscles et de colère. Il lui tournait le dos, s'éloignant, récupérant sa hache au passage, se baissant pour ramasser son casque, puis retournant près du brasier qui, un jour, avait été la place du marché.

Là-bas des hommes encasqués riaient fort, chantaient même, sortaient des maisons en feu avec les quelques maigres trésors qu'ils avaient pu récolter. Dagmar les observait avec tristesse, rage, douleur et incrédulité, tout son village venait d'être détruit, ses amis, ses voisins venaient d'être tués, son jeune frère gisait, éventré, à quelques mètres de là, tandis que l'homme qui l'avait tué s'éloignait d'elle sans aucune raison. Il n'allait pas l'épargner, il ne pouvait pas l'épargner. Si ? Elle ne voulait pas être épargnée, il ne devait pas la laisser en vie tandis que son monde venait de s'écrouler, tandis que sa famille venait d'être décimée sous ses yeux. Il se devait revenir et d'achever ce qu'il avait lui-même commencé ! 

Alors qu'elle implorait à nouveau la mort, une masse sombre s'abattit sur elle, sans qu'elle n'ait le temps de réagir ou même de tenter de fuir, et bientôt une main s'aventura dans les replis de sa robe de lin sale, cherchant à remonter le tissu pour exposer sa chair et ses cuisses à la rudesse de l'hiver. Elle tenta de se débattre avec ses faibles forces, hurlant à pleins poumons comme si quelqu'un pouvait lui venir en aide. Les tissus de sa robe et de sa cape rejetés contre son visage, l'empêchant d'assister visuellement à ce qui allait suivre, elle chercha à insensibiliser son corps, à le désolidariser de sa personne afin que le barbare ne pénètre qu'une coquille vide, un corps déjà mort.

Elle hurlait ses prières aux dieux lorsqu'une voix couvrit la sienne, une voix masculine sèche et autoritaire, une voix qu'elle associa immédiatement, et sans trop comprendre pourquoi, au viking brun, celui qu'elle avait semblé dégoûter d'un simple regard. Elle ne comprit pas ce qu'il hurlait, c'était une langue étrangère, rude et gutturale, mais elle entendit l'homme au-dessus d'elle répondre avec agacement. L'autre voix hurla à nouveau, sèchement, et le poids sur elle s'effaça. Elle resta là, tremblante, grelottante, terrifiée, ses jupes remontées sur son visage, ses cuisses à l'air libre offertes au froid, incapable de bouger de peur que cela ne recommence, qu'on ne la remarque et qu'on achève ce qui avait été à peine entamé. Et lorsqu'elle sentit l'étoffe bouger, elle cru un instant qu'elle avait eu raison de ne pas croire en sa chance.

Pourtant, en ouvrant les yeux, elle vit le meurtrier de son frère, du bout de son épée, remettre ses jupes en place le long de ses cuisses, recouvrant ses chairs, les masquant à la vue de ses pillards, sans jamais croiser son regard. C'était ses cuisses, ses genoux, ses mollets, ses chevilles, ses pieds nus, qu'il fixait à mesure qu'il recouvrait ses jambes, comme fasciné et exaspéré. Tout à la fois. Il rangea l'épée dans l'étui accroché à la ceinture de cuir qui lui scindait la taille, et hurla un nouvel ordre dans cette langue étrange. Aussitôt les hommes cessèrent leur activité immédiate, et s'éloignèrent en direction de la route marchande menant au prochain village. 

Dagmar resta couchée là, dans la neige, une partie de la nuit, recroquevillée sur elle-même, sursautant au moindre bruit, avec la conviction d'être le seul être vivant encore présent dans ce village jonché de cadavres. Un jour passa, deux jours passèrent, trois jours peut être, elle n'avait plus réellement notion du temps qui s'écoulait, avant que la soif ne la pousse à se relever et affronter l'existence d'un «après». Elle n'était pas la seule à avoir tenté de se cacher, mais elle était la seule à avoir eu la chance de survivre. Les pillards avaient incendié les meules de foin, haché menu les tonneaux de vin, si bien qu'aucune cachette n'avait résisté à l'ennemi. Les corps jonchaient le sol, attirant charognards et macabres insectes.

Hébétée et hagarde, affamée et épuisée, la jeune femme dépassa les cadavres sans les voir, ses pieds nus s'enfonçant dans la neige tachée de sang et de suie. Elle délaissa la route commerciale au profit de la forêt dense et inconnue, une forêt qu'elle avait toujours évité tant elle la terrifiait jusqu'au plus profond de son être. Tout valait mieux que la proximité de ces hommes, alors elle voulait creuser la distance entre elle et eux. 

Elle ne comprenait toujours pas comment elle avait survécu, pourquoi ce barbare l'avait épargné, pourquoi il avait empêché qu'on la souille, pourquoi il avait été jusqu'à recouvrir son corps, lui ré-offrir sa dignité, surtout après qu'il eut tué, sous ses yeux, son frère à peine sorti de l'enfance. Elle ferma les yeux, et laissa échapper un petit cri de surprise lorsqu'elle constata que le visage du barbare semblait imprimé sous ses paupières. Son visage anguleux, sa mâchoire féroce, ses pommettes hautes, ses yeux semblables à de la glace, la fine ligne de ses lèvres témoignant de la colère et la répugnance qu'elle lui avait inspiré. Elle s'étonnait d'avoir noté autant de détails physiques, mais peut être que son esprit avait noté tout cela en imaginant, à juste titre, qu'elle vivait là sa dernière vision. Il aurait du être le dernier visage qu'elle voyait, la dernière image vivante qu'elle percevait. 

Elle remonta le bas de ses jupes, préférant écorcher ses jambes anesthésiées par le froid que le tissu dont les lambeaux épars signaleraient sa position. Elle savait qu'elle ne tiendrait pas longtemps dans ce magma végétal dont elle n'estimait pas la densité, pieds nus et sans ressources. Mais mieux valait mourir de la sorte que sous les coups des pilleurs venus du nord. Cette mort avait quelque chose de plus digne.

Et à mesure qu'elle s'enfonçait un voile ténébreux s'installa sur ses rétines, comme si elle observait la scène depuis l'extérieur. Son corps se réchauffait, l'odeur de terre humide se dissipait, les bruits de branches cassées, les cris d'animaux inconnus et intimidant s'éloignaient, elle se sentait plus en sécurité, étrangement loin d'elle-même. Il y eut un bruit de bulle qui explose, comme ces bulles de savon qu'elle avait observée en faisant la lessive, et que Björn s'amusait à éclater du bout de ses doigts fins, puis un bruit de vent, comme une brise légère, et de nouveau une bulle qui éclate. Ce bruit répétitif et gênant l'empêchait de se réapproprier ses yeux et ses sensations, il ne faisait que l'éloigner encore et toujours vers un ailleurs qu'elle ne connaissait pas. Une bulle, encore la bulle, et brusquement... La chute.

*

C'était toujours la même chose, toujours le même procédé, le même cheminement, le même phénomène qui amènait inexorablement au même résultat. Le cœur qui rate un battement, et la respiration qui s'accélère, la panique qui l'étreint et se déverse comme un poison au travers de ses veines, la température corporelle qui augmente comme un feu ardent qui serait nourri, entretenu par son corps lui-même. Les spasmes, la sueur, la terreur, un visage, son visage et comme toujours : le réveil... Puis l'oubli.

Astrée venait de s'éveiller...

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Anne CB
Posté le 07/08/2021
Quel plaisir de te lire! D'une part, tu n'as pas peur de construire de longues phrases quand il le faut, ce que j'apprécie beaucoup. Tu as sur parfaitement entremêler description et action, pour embarquer ton lecteur dans le récit. Bravo!
OphelieDlc
Posté le 10/08/2021
Merci ! Pourtant, les longues phrases ne plaisent pas à tout le monde, alors je suis d'autant plus ravie lorsque je croise la route de quelqu'un qui les apprécie autant que moi.

Merci encore !
Arod29
Posté le 09/07/2021
Impressionné je suis. C'est vraiment très bien écrit. Par rapport au prologue, il y a rupture dans le ton mais pas dans la forme et le style. Une scène compliquée à relater et c'est franchement très très réussi! Je ne vois rien à critiquer et je n'ai pas même envie de chipoter! ;-)
Bravo!
OphelieDlc
Posté le 11/07/2021
Ah mais si, chipote, chipote ! Je suis là pour ça, corriger, améliorer, prendre tous les avis. Ce récit est on ne peut plus perfectible, donc n'hésite surtout pas.
Merci de ton retour :)
Tac
Posté le 09/04/2021
Yo Ophélie !
je passe rapidement car il y a déjà beaucoup de coms, je pense que ce que je vais dire a déjà été dit !
Je trouve ce premier chapitre pas vraiment chapitre si j'ai bien compris, relativement classique, dans le sens où les scènes d'agression sont assez classiques en début de roman. Mais rien de mal à ça, d'autant plus qu'il y a le petit twist final qui est très bienvenu pour rompre cela :)
J'aime bien ton style mais il ya encore des choses à améliorer je crois ! notamment au niveau des redondances des idées, par exemple tu répètes beaucoup que c'est l 'hiver et qu'il fait froid. Et aussi dans cette phrase tu fais la comparaison entre deux trucs bleus alros de spécifier que les deux sont bleus, ça fait un peu lourd (la phrase elle-même est un peu lourde, d'ailleurs, je trouve) : "une chemise en lin bleu qui faisait ressortir encore plus ses prunelles azur irréelles et froides comme l'hiver qui venait de s'abattre sur le pays."
Plein de bisous !
OphelieDlc
Posté le 10/04/2021
Bonjour Tac,

Merci de ta lecture et de ton retour.
Oui, il y a des redondances à supprimer, et des améliorations à apporter que je garde pour un prochain jet. De fait, je garde ton commentaire précieusement pour mon travail de réécriture qui sera pour dans quelques mois. ;)
Alie
Posté le 03/03/2021
Re !
J'apprécie vraiment beaucoup ton style d'écriture et ta façon de narrer. J'ai très envie de connaître la suite de ton histoire, moi qui aime les récits d'amours tragiques et l'idée de la réincarnation. (En tout cas, c'est ce que je crois avoir décelé comme thèmes dans ton roman jusqu'ici.) Tu as su écrire une scène difficilement supportable avec brio, sans tomber dans le trash ni l'occultation pure et simple de la violence et de l'horreur d'un tel massacre, alors bravo !
OphelieDlc
Posté le 03/03/2021
Re !

Et bien soulagée, du coup ! J'ai toujours peur de perdre le lecteur entre le prologue poétique façon fable, et cette entrée en matière tellement plus rustre ! Et, effectivement, tu as cerné les thèmes du récit.

Hâte d'avoir ton avis sur la suite !
Morgane64
Posté le 21/01/2021
Ah non ce n'est pas la description d'une journée de rêve.
C'est bien, cela bouge bien, c'est difficile ce genre de scène. J'ai vu que l'on t'avait donné des conseils, donc j'espère ne pas faire doublon.
J'ai juste noté "Ses doigts se firent plus douloureux sur son menton " je crois qu'il faudrait changer, c'est un peu ambigu, on peut penser que ce n'est pas au menton qu'elle a mal, mais lui à ses doigts. Enfin.
Sinon, très bien. Je me demandais, juste, au niveau de la construction, si cela était judicieux de commencer par une légende et d'enchaîner tout de suite par un rêve. Je n'ai pas lu la suite, je ne veux pas te soulever un souci, mais peut-être alterner/insérer ou introduire une scène qui ne soit ni l'un ni l'autre. N'y vois aucune critique, juste une observation. Je continue la lecture avec plaisir
OphelieDlc
Posté le 22/01/2021
Je ne me vexe absolument pas, bien au contraire. Ta maîtrise de la narration n'étant plus à prouver, je ne peux qu'être attentive aux remarques que tu pourras me faire.

Effectivement, je n'avais absolument pas relevé l'ambiguité de cette phrase, par exemple. Désormais je ne vois plus que cela. Je vais modifier.

Concernant le Songe dans cette position, je me pose beaucoup la question. Initialement, il n'y avait pas de prologue, donc le récit débutait avec le songe uniquement. Désormais, avec le prologue, l'ensemble est bancal. Il faut que je réfléchisse à une alternative.

Merci beaucoup de ton retour et de ta lecture
Kieren
Posté le 01/01/2021
La description des lieux et des événements sont très bons, on se retrouve bien dans l'espace et dans la peau de la narratrice.
Un souvenir de ses vies passées, une histoire qui n'a jamais pu se finir.
OphelieDlc
Posté le 02/01/2021
Merci.
Très pertinente remarque, en effet. En espérant que la suite te plaise aussi.

Merci de ta lecture et de ton retour.
Aline Prov
Posté le 26/12/2020
Hello !

J'ai beaucoup aimé ce songe, même s'il n'est clairement pas joyeux. Je suis extrêmement intriguée par le réveil, qui, selon moi, laisse entrevoir le fait que ce songe n'est pas le simple cauchemar qu'on pourrait imaginer. J'ai l'impression que c'est soit un cauchemar récurrent, soit un cauchemar à la cause plus mystique.

En tout cas, j'aime beaucoup ton style. Il y a quelques phrases un peu longues, avec beaucoup de virgules, mais c'est un style que j'adopte moi-même régulièrement, donc ça ne me pose pas de problème.

J'ai aussi cru initialement que Dagmar était le nom du viking, mais ça ne colle suffisamment pas dans le paragraphe pour que ce soit naturel de corriger cette impression et de comprendre que c'est le nom de la protagoniste.

Bonne continuation à toi !
OphelieDlc
Posté le 26/12/2020
Ha, les phrases longues... Oui, c'est ma grande faiblesse. Comme ça m'a été beaucoup signalé sur les premiers chapitres, j'y ai prêté très attention sur la réécriture des chapitres suivants. Sans les supprimer totalement puisque, comme tu le dis, c'est un style qui a son charme lorsqu'on en abuse pas (et j'en abusais très clairement).

Je vais quand même retravailler la première apparition de "Dagmar". Même si la compréhension se fait rapidement, ça m'embête un peu qu'il puisse y avoir confusion au départ. Je vais revoir ce passage.

Merci de ta lecture, et merci de ton retour !
Rachael
Posté le 01/12/2020
Ah, c'est costaud, comme rêve !
Je viens voir ton texte pour les HO, et c'est une jolie découverte. Pas exactement relaxantes, les nuits de ton héroïne !

Côté style, j'ai relevé quelques phrase un peu longues surtout au début me semble-t-il, comme la première du premier paragraphe ou la première du second.

tu fais aussi un usage assez intensif des participes présent, qui pourraient parfois être remplacés par des verbes conjugués, ce serait plus léger. Par exemple: Il lui tournait le dos, s'éloignant, récupérant sa hache au passage, se baissant pour ramasser son casque, puis retournant près du brasier qui, un jour, avait été la place du marché.
(il lui tourna le dos puis s'éloigna. Il récupéra sa hache au passage, se baissa pour ramasser son casque et retourna près du brasier qui...)

un détail : avant que la faim ne la pousse à se relever et affronter l'existence d'un «après». J'aurais pensé que la soif la dérangerait avant la faim.

Ah et dernier détail, je ne suis pas sûre que l'italique soit indispensable, en tout cas, c'est moins lisible sur de longs passages.
OphelieDlc
Posté le 04/12/2020
Oui, ses nuits sont... hum... particulières !

Merci pour ton retour surtout que, en effet, tes remarques rejoignent beaucoup celles qui m'ont été faites en BL (phrases trop longues, usages intensifs des virgules et du participe présent et rythme parfois un peu dissonant) Autant de tics d'écriture que je ne voyais même plus, à force. Du coup, je travaille énormément sur ces points en particulier dans les chapitres suivants. Je reviendrais sur les tout premiers chapitres un peu plus tard pour ne pas prendre le risque de "bloquer" dessus trop longtemps et ne plus avancer sur la suite.
Mais je note ta proposition pour l'exemple. Car j'avoue que de tous mes tics, ce sont les participes présents qui me causent encore bien du souci.

Concernant l'italique, c'est surtout pour différencier les parties "songes" des parties "contemporaines". Initialement, j'avais une police différente pour ces passages-là.

Et oui, entièrement d'accord pour la soif plutôt que la faim. Mon cerveau a buggué. Je change ça immédiatement.

Merci de ta lecture et de ton retour.
Isapass
Posté le 18/11/2020
Elle a des rêves un peu remuants, Astrée ! J'espère qu'elle ne le fait pas trop souvent celui-là !
J'ai eu du mal à comprendre qui était Dagmar, parce que pour moi c'était un prénom masculin (va savoir pourquoi...) et que tu ne le cites que tard dans le chapitre (3ème ou 4ème paragraphe). Or, comme tu as parlé du viking avant, je croyais que c'était lui. Bref, j'ai eu un moment de flottement. Du coup, je me demande si tu n'aurais pas intérêt à dire son prénom plus tôt (pourquoi pas dans la première phrase).
OphelieDlc
Posté le 19/11/2020
J'ai eu un doute et je suis allée revérifier, mais non, c'est bien un prénom féminin. Impossible de me souvenir pourquoi celui-ci plutôt qu'un autre, donc j'étais plus très sûre de moi en lisant ton commentaire.
Je vais retravailler ça, faire apparaître le prénom plus tôt, tu as raison.
Merci !
(Et si, malheureusement pour Astrée, ces "rêves" sont monnaie courante - j'aime torturer mes personnages)
Ezylae
Posté le 01/11/2020
Alors je n'ai pas lu les autres avis, donc désolée si certaines de mes remarques sont un doublons.
"délivra une cascade de cheveux brun d'ébène " > J'aurais plus mis "brun ébène" (Puis en soi, l'ébène c'est noir, mais rien de contrariant.)
Ensuite, wow. J'adore l'idée du songe, la façon dont tu le mets en avant, ça donne envie d'en connaître plus sur ton héroïne. Je me pose tellement de questions qui auront sûrement des réponses à la suite de la lecture, mais ça donne un super rythme à la lecture.
OphelieDlc
Posté le 01/11/2020
Pour le coup, pas de doublon sur les autres avis, même si on m'avait signalé cette erreur en BL, et que je remarque en avoir oublié la correction. En effet, "brun d'ébène" n'a pas de sens. Je pense que c'est la musicalité du "bois d'ébène" qui m'a fait taper n'importe quoi. Je corrige immédiatement. Merci !
Je ne peux pas promettre que toutes tes questions auront des réponses rapides dans les chapitres suivants, mais tu auras sûrement de nouvelles interrogations qui viendront se greffer.

Merci de ta lecture, de tes commentaires et corrections. :)
heloise_m
Posté le 28/10/2020
Salut !

Après avoir lu la petite fable du début, j'étais quelque peu perplexe. Même si celle-ci était très bien écrite, j'avais un peu de mal à savoir dans quoi je m'embarquais.

Après la lecture de ces songes, j'ignore toujours à quoi m'attendre... mais pour être honnête, je m'en fiche éperdument ! J'ai tout de suite été hâpée par la narration, qui m'a jetée irrémédiablement dans la tête de cette pauvre fille, perdue, terrorisée, décontenancée par sa situation. J'ai ressenti avec elle l'angoisse de la présence de ces envahisseurs du nord, et ai même ressenti le froid qui l'entourait. Moi aussi, je souhaiterais comprendre pourquoi. Pourquoi tout ce qui est arrivé est justement arrivé. Mais je suppose que mes questions ne trouveront de réponse que dans les chapitres suivants.

Plus le choix maintenant, je suis bien obligée de continuer !
OphelieDlc
Posté le 29/10/2020
Haha, j'aime l'idée de savoir que tu estimes ne plus avoir le choix, c'est très flatteur !
J'espère sincèrement que la suite te procurera le même sentiment, et que la narration plus contemporaine saura te séduire pareillement. Mon but étant d'entremêler le passé et le présent, de nous perdre dans les chemins du Temps peut-être que les réponses que tu espères n'apporteront que d'autres interrogations.

Merci de ta lecture et de tes commentaires.
Hâte de connaître ton avis sur la suite. :)
Belette
Posté le 13/10/2020
Absolument soufflée par ces deux premières parties...

La fable du lion et de la louve a quelque chose d'antique, de profondément ancien qui m'a beaucoup intriguée.
Mais que dire de ce chapitre... Ton écriture est absolument magnifique, tout comme la structure de cette partie. J'aime le fait qu'il n'y ait pas de dialogue, que tu fasses crier Dagmar sans que jamais on ne l'entende. Il n'y a pas de paroles à mettre sur une terreur comme celle-là.
Et malgré la violence de la scène et la justesse avec laquelle tu l'as dépeint, il y a une poésie et une pudeur dans tes mots. Tes scènes sont très esthétiques, je pense notamment à ce moment où elle reste allongée sur le sol, le visage recouvert par ses jupons, sa nudité exposée sans qu'elle ne fasse un geste pour la cacher. Ca m'a collé un frisson. Tu as su décrire la densité des détails qui s'impriment lors de ce genre de scène, le temps qui s'arrête...
De la délicatesse, il y en a surtout dans cette façon de fouiller les sensations, de les relater dans leurs plus petites nuances : ça a quelque chose de très incarnée, comme si on s'installait dans le corps de cette jeune fille avant même de pouvoir entendre sa voix.
Enfin, je trouve les deux paragraphes d'Astrée parfaits, ils relient passé et présent. Je sens que ces 122 chapitres vont être trop courts... ;)

Encore bravo à toi, je cours lire la suite !
OphelieDlc
Posté le 15/10/2020
Merci Belette (très étrange de remercier une belette... Pas de doute, on est sur PA !) !
Oh, je pense qu'au bout de quelques chapitres, 122 ça te semblera bien long. Mon but n'étant pas de frustrer qui que ce soit, je vais quand même m'atteler à faire bouger les choses un peu plus rapidement ;)

Merci de ton retour, je suis joie de lire autant de compliments. Ca atténue un peu mon syndrome de l'imposteur. Un grand merci rougissant :))
Belette
Posté le 15/10/2020
Que veux-tu, PA est une contrée étrange ... ;)
On verra bien, mais je crois que tu te sous-estimes : j'aime la façon dont les choses s'installent lentement, petit cailloux après petit cailloux. Tes chapitres sont pourtant dynamiques et je ne m'ennuies pas du tout, j'ai l'impression de m'enfoncer de plus en plus profondément dans le monde d'Astrée, comme dans un rêve... J'attends le moment où le tableau se révèlera dans son ensemble, et en même temps je ne suis pas pressée, cette installation de l'histoire est très très agréable. Merci pour ces moments de lectures
Nuity
Posté le 08/09/2020
Ton écriture est vraiment superbe ! Par contre, ce serait vraiment pas mal d'indiquer directement un TW tentative de viol, parce qu'au moins on sait directement à quoi s'attendre, ça évite aux lecteurs d'avancer à tâtons et d'avoir "peur" des phrases à venir...
OphelieDlc
Posté le 10/09/2020
Je pensais que l'acte n'était pas suffisamment avancé, et finalement juste effleuré quelque part, pour mettre un TW. J'avais le sentiment que ça risquait de donner la fausse impression d'un passage qui serait beaucoup plus qu'une ébauche de... et du coup faire peur plus que prévenir réellement de quelque chose.
Mais j'avoue ne pas avoir assez de recul sur ce sujet, ni l'expérience qu'il faut, donc j'ajoute immédiatement le TW.
Et merci beaucoup :)
MMGeorges
Posté le 23/08/2020
Ton écriture est époustouflante ! Je n'ai pas lâché ma lecture des yeux une seconde, je ne m'attendais surtout pas à une chute comme ça ^^. Hâte de lire la suite que je vais m'empresser d'aller voir :-)
OphelieDlc
Posté le 24/08/2020
Merci ! Que de compliments ! J'espère que la suite te plaira tout autant :))
MMGeorges
Posté le 20/10/2020
Je pense :-)
Mateul
Posté le 16/08/2020
MA-GNI-FI-QUE ! J'ai lu dans le quartier des récits très chouette, mais là... tu pèses dans le game comme disent les jeunes hahaha!
Ta plume, même si elle décrit des événements terribles, est riche, fluide, avec un rythme quasi-éthéré. Et tu maitrises bien l'art du suspense ! J'ai vraiment hâte de lire la suite.
OphelieDlc
Posté le 16/08/2020
Je suis ravie que le début te plaise et t'intrigue, d'autant que pour avoir lu le pitch de ton propre récit, quelque chose me dit que le sujet de nāphîl a tout pour te plaire (tout comme le sujet de La Gardienne des Runes a tout pour me plaire). A moi de parvenir, maintenant, à continuer de proposer des chapitres intéressants. Pression. Haha.
Maristochats
Posté le 13/08/2020
Oooooh cette chute ! Je ne m'attendais pas du tout à cette fin ! mais c'est génial ! Ca me donne plein d'idées en référence à ce qui est écrit au passage précédent.
j'ai été happée dans le récit, visualisant parfaitement la scène, les décors et les expressions de chacun des personnages. Ton écriture nous plonge dans l'histoire comme si on y était.
Je suis très intriguée sur les raisons qui pousse le "chef" des nordiques à la laisser en ville et surtout pure, mais je suis contente de ce choix. La scène est déjà mal gore sans qu'on ait besoin d'y rajouter un viol. Après c'est violent, mais personnellement, ça va, je pense qu'on a deja lu et vu pire ... Mais quoi qu'il en soit, le tout est très bien restitué.

Je continuerai avec plaisir cette lecture dès que j'aurais un moment tant ton écriture est plaisante.
OphelieDlc
Posté le 13/08/2020
Ravie que ce chapitre ait su te convaincre également, et en espérant que la suite, plus contemporaine, te plaise tout autant.

Les motivations du barbare... Ah ! C'est une partie du mystère. Toutes les questions trouveront une réponse, mais je suis rassurée de constater que dès les prémices, tu poses le doigt là où il faut. Il lui laisse la vie sauve, certes, mais sa virginité aussi. Et, en effet, ce n'est pas anodin.

Merci, encore une fois, de ta lecture et ton retour.
Au plaisir de lire tes prochains commentaires quand le temps te le permettra et si le cœur t'en dis. :)
Elf
Posté le 12/08/2020
Waaaaaaaaaaaaaaaaaw !
C'est… génial ! La légende du lion et de la louve m'avait subjugué, et là, tu accroché aussi également mon attention ! Je suis sur le cul. (pardon pour la vulgarité x)
Tes descriptions forment des images très précises, et les tournures de tes phrases sont fluides, et percutantes. Quand aux pensées de Dagmar, tellement réalistes… sa peur et son hébétude sont poignantes, ça serre le cœur.
Ce songe m'a transporté malgré l'horreur que tu décris, j'ai hâte de lire la suite ! Tant de puissance dans tes mots ! Je suis contente, comme l'a dit Pamiel, qu'il l'épargne, et c'est d'autant plus mystérieux ! Bref, bonne continuation, je vais lire la suite avec plaisir, intriguée par où tu nous emmènes... !
A bientôt,
Peace :)
OphelieDlc
Posté le 12/08/2020
A mon tour de m'exclamer "Waaaaaaaaaaaaaw !" devant tant d'enthousiasme ! Je vais en rougir (ou rugir ?) de plaisir !

Merci beaucoup ! En espérant que la suite ne te déçoive pas. :)
Pamiel
Posté le 27/07/2020
Hooo, c'est vraiment pas mal !

J'ai été intriguée par la légende de la louve et du lion, embarquée par ce Songe. J'ai plusieurs remarques sur le bout de la langue mais déjà, très belle écriture. Concernant la violence présente dans ce chapitre, j'étais stupidement heureuse qu'il ne la viole pas. On voit trop souvent ce trope dans les fictions et tu l'évites d'une façon à la fois intrigante pour l'histoire et maligne. J'en suis d'autant plus curieuse sur la raison qu'il a eu de l'épargner !

Certaines phrases me tiquent pour leur longueur, par exemple la toute première. Ou encore ce passage : "Elle savait qu'elle ne tiendrait pas longtemps dans ce magma végétal dont elle n'estimait pas la densité, pieds nus et sans ressources, mais mieux valait mourir de la sorte que sous les coups des pilleurs venus du nord." J'aurai séparé la phrase en deux pour l'alléger (par exemple au "Mais". Tout est question de rythme, de sonorité. Mourir est une chose puissante. Ta phrase doit donc cogner.)

Attention aux adverbes qualificatifs. Par exemple, le "légèrement" de ce passage : "Puis il relâcha son visage envoyant sa tête voler contre le bois de la porte, cognant légèrement celui-ci." Je crois qu'ici tu peux rythmer le coup dans ta phrase. Avec un point après porte et en retirant le "puis", ça peut mieux frapper : "Il relâcha son visage et envoya cogner ta tête contre le bois de la porte." Ce n'est qu'un pur exemple, bien sûr. Mais l'idée serait de fluidifier tes mots, d'adapter ton rythme, pour le lecteur prenne des respirations entre tes phrases par ailleurs musicales. Ton style se compose de phrases longues ? Parfait, n'oublie juste pas d'aérer entre deux d'entre elles !

Idem ici : "Il n'allait pas l'épargner, il ne pouvait pas l'épargner. Si ? Elle ne voulait pas être épargnée, il ne pouvait..." Avec la répétition du verbe pouvoir, qui est terne. Employer quelque chose de plus choquant, un verbe plus actif, permettrait de dynamiser la peur du personnage, son angoisse. Vouloir, lui, est actif et joue très bien son rôle !

Bref, j'ai été ravie de découvrir ta plume et je suis intriguée d'en lire plus. De découvrir les merveilles où tu nous emmènes !
OphelieDlc
Posté le 27/07/2020
Tout d'abord un très grand merci pour ce commentaire détaillé ! Je ne peux que le valider puisque tu relèves tous les points qui me chiffonnaient à la relecture. Il y en a d'autres, mais c'est peut-être seulement mon manque d'objectivité.

1. "Elle savait qu'elle ne tiendrait pas longtemps dans ce magma végétal dont elle n'estimait pas la densité, pieds nus et sans ressources, mais mieux valait mourir de la sorte que sous les coups des pilleurs venus du nord."
A la relecture, je n'ai pas accroché à cette phrase parce que trop longue et, de fait, trop confuse. J'ai vais suivre ton conseil et placer un point avant le "mais".

2. "Puis il relâcha son visage envoyant sa tête voler contre le bois de la porte, cognant légèrement celui-ci."
Idem, cette phrase sonnait faux, mais je n'avais pas identifié le problème. Le "légèrement" n'était là que pour notifier le fait qu'il ne s'agissait de violence, mais simplement le résultat de sa tentative désespérée à échapper à la poigne de son agresseur. Elle incline sa tête en arrière et lorsqu'il la relâche : boom.
Je vais réécrire intégralement ce petit passage.

3. "Il n'allait pas l'épargner, il ne pouvait pas l'épargner. Si ? Elle ne voulait pas être épargnée, il ne pouvait..."
Parfaitement d'accord. Je vais remplacer par "devoir". "il ne devait pas la laisser en vie."

J'apprécie énormément ton approche musicale d'un texte. Ça me parle. Merci beaucoup pour ton temps de lecture et, surtout, de commentaire.
Zoju
Posté le 27/07/2020
Salut ! J’ai lu tes deux premiers chapitres d’une traite. J’aime beaucoup ton style d’écriture qui est très agréable à lire. Je dois t’avouer que pour le moment, je ne vois pas encore où tu vas nous emmener, mais c’est très intrigant. Le premier chapitre avec la louve et le lion est bien mené. Est-ce une légende ou une réalité ? Pour ce chapitre-ci, la fin nous amène à nous demander qui est Astrée et qu’elle est le rapport avec la partie en italique. En tout cas, tes premiers chapitres me donnent vraiment envie de lire la suite. Hâte de la lire ! :-)
OphelieDlc
Posté le 27/07/2020
Merci Zoju !
La première partie représente une fable transmise à l'oral à travers les siècles. Mais je ne peux pas trop en dire, disons qu'il s'agit de prévenir le lecteur de la suite, bien plus contemporaine et presque "normale" n'est qu'une amorce.
Pareil pour ce chapitre-ci, j'ai fait le choix de laisser entrevoir ce qui est stocké dans l'inconscient d'Astrée avant même de vous la présenter, histoire de ne pas vous perdre par la suite.
Du coup, j'ai la pression maintenant :)
Notsil
Posté le 26/07/2020
Eh bien, whaouh ! C'est vraiment maitrisé. Une scène cruelle et pourtant loin du gore habituel.

J'aurais bien relevé que les jours dans le froid et l'immobilité auraient du donner des engelures (au minimum), mais, comme tu précises que c'est un songe au départ...

Ça reste très intriguant, entre la réaction clairement pas logique du bonhomme et cette phrase de fin.
OphelieDlc
Posté le 27/07/2020
Tu as raison, il s'agit d'un songe mais qui se doit d'être réaliste. Et en effet, un séjour dans la neige et le froid ne devrait pas lui permettre de marcher par la suite. Cela dit, cette notion de temporalité n'était là que pour signifier qu'elle avait, justement, perdu tout notion du temps qui passe. Il ne peut clairement pas s'agir de deux jours entiers, encore moins trois.
Je vais supprimer cette petite phrase qui porte à confusion.
Merci :)
Lyra
Posté le 26/07/2020
Wow, wow, wow. Un récit maîtrisé à la perfection. C'est terriblement visuel, intriguant et fluide à lire. La scène est violente mais tu parvint à ne pas basculer dans le côté un peu "gore pour le gore" ce qui l'a rend(oserais-je le dire sans passer pour une psychopathe?) agréable à lire!
Une petite remarque de rien du tout car je suis une chieuse et que ça serait trop parfait sinon : "son jeune frère à peine sorti de l'enfance." Tu peux enlever le "jeune" je pense, car ça fait un peut redondance avec la première description du pauvre gosse et mettre juste "son frère à peine sorti de l'enfance":-) sinon rien à dire sinon: la suiiiite!
OphelieDlc
Posté le 26/07/2020
Tu sais que j'attendais ton avis avec impatience ? Merci !!!
Tu as parfaitement raison concernant le "jeune frère". En réalité j'ai modifié la phrase à la dernière minute avant de poster, car c'était "son jeune frère d'à peine 12 ans" et que la notion d'âge me semblait anachronique. Je supprime cette vilaine redondance.
La suite arrive, mais je la peaufine :)
Lyra
Posté le 27/07/2020
Oh c'est vrai ?! Ça me touche xD
Merci à toi pour avoir partagé ce texte, il est réellement woooow....
Je serai tomber dessus en librairie, il aurait sûrement fini dans mon étagère.
Ne t'inquiètes pas pour la redondance ensuite, c'est juste que je suis un peu chiante à chercher la petite bête XD ça n'enlève rien à la qualité de l'ensemble ! Mais ravie d'avoir pu t'aider ! ;)
Ooooooh j'ai hâte !!!😍
galōra
Posté le 23/07/2020
Ouuuuh, je n'ai pas eu à attendre trop longtemps !
Ça se lit tout seul. Ton écriture est fluide, agréable et ton vocabulaire est impeccable. Ton premier paragraphe est une perfection de description ! J'aime comment tu nous emportes d'une émotion à l'autre tout en restant maître de ton récit. C'est vraiment prometteur !
(J'ai juste remarqué une coquille à la fin, "nourrit" à la place de "nourri")
OphelieDlc
Posté le 23/07/2020
Merci !
Il est toujours risqué de débuter un récit par une scène hors-contexte et, qui plus est, violente, aussi ton avis me rassure énormément.

(Merci pour ton oeil de lynx, je me suis empressée de corriger)
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