Le Trident de Poséidon - Chapitre 1

Par NaL

Professeur Abigaël : le Trident de Poséidon

 

 

Chapitre 1

 

 

 

 

Algérie – région du Tassili N’Ajjer

 

C’était une partie du métier qu’elle affectionnait particulièrement. Arriver sur une terrain de recherche et frimer avec son C.V. long de plusieurs kilomètres, quasiment inventé de toutes pièces, mais qui lui permettait d’avoir un passe-droit sur à peu près n’importe quel chantier archéologique. S’il y avait bien une chose qu’Abigaël Alcazar ne reprochait pas à l’Agence, c’était leur talent pour se jouer de toutes les complications administratives sans jamais trahir leurs mystérieuses activités. Les accords passés avec les grands de ce monde y jouaient sûrement beaucoup.

Elle arriva donc sur le chantier archéologique en roulant des mécaniques et en montrant à qui le voulait son C.V. et ses passes-droits.

L’archéologue en chef, un homme d’une cinquantaine d’année arborant un bob des plus immondes, sortit de l’ombre d’un grand bloc de pierres parmi les centaines d’autres qui constituaient l’étrange mais envoûtant site de Tassili N’Ajjer. S’il avait l’air agacé au premier abord par ce dérangement, il changea d’attitude en voyant Abigaël. Grande et de fière allure, avec de beaux cheveux bruns ondulés, une peau couleur huile d’olive et un beau visage, elle faisait un effet conséquent sur la majorité des personnes qu’elle rencontrait. Aussi, l’archéologue en chef enleva son bob pour se présenter quand il arriva à son niveau.

- Que puis-je faire pour vous, demoiselle ? Demanda-t-il.

- Professeur, pas demoiselle. Professeur Abigaël Alcazar. Je suis dépêchée ici par l’université d’Harvard pour étudier le symbolisme social des peintures rupestres de Tassili N’Ajjer. Voici la demande de l’université, accordée par les autorités algériennes et mon C.V., au cas où vous ne me croiriez pas.

L’archéologue étudia d’un œil distrait les papiers qu’elle lui présenta. Mais un détail capta son attention.

- Vous laisser seule sur le site ?! s’exclama-t-il. Mais c’est la première fois que je vois pareille demande !

- Il faut une première fois à tout, répondit-il avec un sourire ironique.

- Vous êtes sûre qu’on ne peut pas passer outre ? On est en plein travail depuis des semaines et tout remballer juste pour que vous soyez seule nous ferait perdre un temps précieux.

Abigaël baissa ses lunettes noires et planta ses yeux d’un noir profond sur l’archéologue.

- A votre avis ? Demanda-t-elle d’un ton froid.

L’homme fronça les sourcils.

- Y a anguille sous roche, soupçonna-t-il. Vous permettez que j’appele votre employeur ?

- Vous voulez appelez Harvard ? Je vous en prie. Entre votre appel et celui de Michio Kaku, je ne suis pas sur qu’il fasse passer en priorité le votre mais vous pouvez toujours essayer.

L’archéologue grommela une réponse dans sa barbe et sortit son téléphone. Faisant mine de patienter sur son propre téléphone, Abigaël appuya sur une application de l’Agence et actionna le filtre d’appel. L’intelligence artificielle de l’Agence, Lexie, s’activa et cala un des nombreux satellites de l’Agence sur Tassili N’Ajjer afin de capter l’appel de l’archéologue et de répondre à la place d’Harvard. Tout était son contrôle.

Abigaël rangea son téléphone portable et s’écarta discrètement de l’archéologue qui s’acharnait sur la fausse messagerie vocale de l’université.

Avec un aplomb flamboyant, elle passa sous les fils de sécurité et adressa des « bonjours » en arabe aux ouvriers qui la regardaient avec des grands yeux. Elle en repéra un qui paraissait être le chef et s’adressa à lui dans un arabe parfait. Celui-ci fut surpris de l’entendre parler aussi bien sa langue, sachant qu’il n’avait jamais entendu un scientifique étranger se fatiguer à parler la langue du pays.

- Bonjour, mon ami l’archéologue règle quelques petits soucis mineurs. Pendant ce temps, est-ce que vous pouvez me guider vers ces peintures s’il-vous plaît ?dit-elle en montrant une photo sur son téléphone.

Elle n’avait pas de temps à perdre. Tant pis si elle n’était pas seule sur le site. Elle ferait ses recherches quand même. L’homme la mena dans la « forêt de rochers » formée par d’innombrables formations géologiques de grès érodé. Cette partie du Tassili N’ajjer était réputée pour sa formidable concentration de peintures rupestres datant du Néolithique, soit plus de 9 000 ans avant notre ère, ainsi que par son panorama irréel.

Les peintures précises qu’elles recherchaient pouvaient lui révéler d’importantes informations sur un sujet qui lui tenait à coeur. Tellement à coeur qu’elle y travaillait depuis plus de dix ans. C’était d’ailleurs la raison de son entrée dans l’Agence, il y a cinq ans. Au début de son entrée, elle était excitée comme une adolescente qui rencontrerait sa star préférée, mais elle avait vite déchanté. Au départ, elle rentrait dans quelque chose de presque magique, une organisation secrète chargée de protéger l’humanité de toutes les menaces extraordinaires, une porte ouverte vers les mystères de ce monde. Elle espérait qu’elle était tombée sur la solution qui lui permettrait de découvrir ce qu’elle recherchait depuis si longtemps. Mais il avait fallu se rendre compte de la réalité. En tant que gardienne, sa fonction était de chercher des armes pour l’Agence. Rien qui se rapproche d’un vrai travail de recherche. Il avait fallu faire des compromis.

Elle chassa ces pensées pour se concentrer sur les peintures. L’homme, qui se prénommait Adil, l’avait emmenée aux peintures qui l’intéressait. Celles-ci représentaient trois personnes dessinées de manière symboliques, toutes trois avec la main levée. Leurs corps peints en noir étaient constellées de tâches blanches. Autour d’eux, il y avait des symboles. Abigaël sortit de son sac un vieux Ipad. Elle ouvrit un dossier contenant plusieurs autres symboles. Adil y jeta un coup d’œil discret.

- C’est quoi ? On dirait un dict…

- Dictionnaire des symboles pré-historiques oui. Cela fait quelques années que j’essaie d’en construire un, répondit distraitement Abigaël, plus occupée à comparer les symboles.

- Très intéressant. La plupart des symboles datent de la période magdalénienne à ce que je vois, fit l’homme.

Abigaël eut un sourire surpris.

- Vous vous y connaissez ?

- Oui, je fais en ce moment même des études d’archéologie à l’université d’Alger.

Pour remplacer l’archéologue au bob monstrueux, pensa-t-elle.

- Y en marre de ces scientifiques étrangers qui viennent prennent la direction de ces sites qui nous appartiennent, déclara Adil en faisant un clin d’oeil.

Abby lui fit un sourire. Elle se dit qu’il lui plaisait bien.

- Vous savez la meilleure avec les symboles pré-historiques ? Demanda-t-elle.

- Non.

- C’est qu’on retrouve les mêmes dans tous les sites archéologiques de la Terre. Du moins pour ce qui est de la période magdalénienne. Avant cette période, c’est un peu plus flou.

- Les mêmes autour du globe ? Mais cela veut dire…

- Qu’il a potentiellement existé une culture commune au monde entier bien avant l’avènement de la mondialisation et du partage d’information à grande échelle.

Adil la regarda comme si elle lui avait annoncé qu’il avait gagné un million d’euros.

- Impossible… murmura-t-il en ayant des étoiles dans les yeux.

- Et pourtant… Je vous laisse explorer cette question par vous même, dit-elle en lui rendant son clin d’œil. Maintenant, Adil, qu’est-ce que vous pouvez me dire sur Tassili N’Ajjer que je n’ai pas déjà lu ou entendu ?

Adil se remit de ses émotions et se mit à réfléchir, se prenant la barbe entre les doigts.

Abby attendait sa réponse avec une impatience contenue. Ce qui l’intéressait chez Adil n’était pas ses connaissances archéologiques sur le site, elle aurait pu demander ça à l’archéologue en chef. Mais ce que ne savait sûrement pas l’archéologue en chef, c’était les légendes qui appartenaient au site et que se racontaient les personnes habitant dans le coin. Abigaël croyait qu’il y avait toujours une part de vérité dans ces légendes. Et cette part de vérité pouvait la mener vers ce qu’elle cherchait.

Restait à savoir si Adil allait lui avouer ces légendes. Elle avait partagé avec lui ces découvertes dans l’espoir qu’il lui fasse confiance.

- Hm… Il y a bien une légende qui m’a toujours intrigué. Elle est à peu près aussi extravagante que ce que vous m’avez dit sur cette culture mondiale à l’époque magdalénienne. Donc je me permet de vous la raconter.

Dans le mille, se dit Abby.

- Les anciens disent que ce ne sont pas les berbères qui ont fait ces peintures. Ils disent que ce sont les « hommes de la mer » qui les auraient dessinés et que les dessins racontent leurs histoires.

Les yeux de Abby se mirent à briller.

- Les « hommes de la mer » ? Vous croyez que cela correspond aux mystérieux peuples de la mer qui ont envahi les royaumes du Moyen-orient à la fin de l’âge de Bronze ?

Adil lui rendit son regard plein d’étoiles.

- C’est mon idée… Peut-être ces dessins viennent-ils vraiment de ces fameux peuples de la mer et peut-être nous donneront-ils des clés pour comprendre d’où venaient ces peuples et pourquoi ont-ils si soudainement quitté leurs terres d’origines.

- Ou peut-être racontaient-ils eux mêmes une légende… beaucoup plus ancienne, murmura-t-elle, plus pour elle-même.

Adil la regarda en se demandant de quoi elle parlait. Puis il s’agita comme s’il venait d’avoir une idée.

- Venez avec moi ! Je vais vous montrer quelque chose ! Cela devrait vous intéresser.

Elle le suivit. Adil la mena dans le dédale de rochers. Il s’arrêta devant un rocher particulièrement tortueux. Il désigna un recoin, à l’ombre, entouré de filets de sécurité. Il leva les filets et fit passer Abigaël.

- C’est une de nos dernières découvertes. Je n’ai pas le droit de vous la montrer, mais je sens qu’on est sur la même longueur d’onde, tous les deux, je peux vous faire confiance, dit-il en montrant du doigt quelque chose.

Abigaël s’approcha. Elle s’accroupit et plissa les yeux. Il y avait des petits dessins, principalement des formes géométriques, et deux spirales. Cela éveilla la curiosité d’Abigaël. S’il existait effectivement un langage ancien et mondial, la spirale y occupait une place importante. C’était un signe qu’on retrouvait partout dans le monde et dans les époques les plus reculées.

- Ces dessins datent de – 12 000 ans.

Elle se retourna vers Adil pour voir s’il se moquait de lui. Il était sérieux.

- Ce sont parmi les plus vieux que l’on ait daté sur ce site.

Elle les regarda encore. Elle sentit un sentiment monter en elle, comme si un souffle épique l’emportait loin d’ici et ralentissait le temps. Elle eut des frissons dans tout le corps. Elle avait trouvé quelque chose d’important.

Abigaël s’empressa de sortir un calepin et un crayon, pour recopier les signes millénaires. Elle s’arrêta sur un signe.

- Celui là… Je ne le connais pas…murmura-t-elle. Est-ce que ça pourrait être…

Elle prit la main d’Adil dans la sienne. Celui-ci, surpris par le geste soudain, sursauta.

- Merci, dit-elle avec profondeur. Ce que vous venez de me faire découvrir va beaucoup m’aider.

- Je vous en prie, docteur. Quoi que vous ayez découvert, attendez juste que l’archéologue au bob immonde publie ces travaux, sinon je perdrai mon travail, fit-il avec un clin d’oeil.

Ils se sourirent et elle allait se remettre au travail quand ils entendirent des coups de feu. Adil se retourna vers l’origine des sons, l’air inquiet.

- Hmmm… Kalachnikov… souffla Abigaël.

- Adil ! Docteur ! Hurla l’archéologue en chef en courant vers eux. C’est l’AQMI ! Ils font une attaque sur le site archéologique !

L’homme s’arrêta devant eux, essoufflé et effrayé. Adil s’agita.

- Venez par là, on va se cacher parmi les rochers, c’est le seul moyen de survivre jusqu’à qu’ils partent, s’exclama Adil en prenant Abby par la main.

Mais celle-ci se libéra. Elle rangea son calepin dans son sac à dos et en sortit un Desert Eagle.

- Woah ! s’étrangla l’archéologue en chef. Qu’est-ce que c’est que ça ?!

- Docteur ! Intervint Adil. Faites pas de folie, l’AQMI ne rigole pas. Ces terroristes vont vous tirer dessus dès qu’ils vous verront. Le mieux est de se cacher, croyez-moi.

Abby se retourna et les regarda. Son regard avait changé. Elle était amusée.

- Allez vous cacher, vous en faites pas pour moi.

Elle fonça sur un rocher, grimpa souplement jusqu’au sommet et se dressa de tout son long. En bas, les deux hommes la regardèrent comme si elle était folle et s’enfuirent à toute vitesse. Du sommet du rocher, Abby avait une vue globale de la situation. Elle voyait le camp monté des archéologues, les jeeps des terroristes, des corps étendus par terre et les membres de l’AQMI en train de courir pour se réfugier dans les rochers. Ce n’était pas une attaque, ils fuyaient et étaient tombé par hasard sur le site. Ils fuyaient l’immense tempête de sable qui couvrait l’horizon et une bonne partie du ciel. Un peu à l’image d’une monumentale vague de sable, la tempête s’avançait à toute vitesse vers le site de Tassili N’ajjer.

Abby réfléchit à toute vitesse. Elle n’aurait jamais le temps de rejoindre son véhicule et elle avait déjà perdu de vue Adil. La seule solution manière de survivre à ça était de trouver un refuge dans l’amas de rocher. Elle trouverait sûrement une cavité qui pourrait la protéger du sable.

Abby entreprit alors de descendre le rocher qu’elle avait monté. Une fois arrivée en bas, elle sentit les bourrasques de vent s’infiltrer dans le dédale de roc. Elle entendit la tempête arriver plus qu’elle ne la vit arriver. Un bruit sourd emplit ses oreilles et elle se retrouva soudainement dans la tempête. Elle leva sa veste pour protéger sa bouche et son nez. Elle ne voyait qu’un rideau de sable en mouvement et devinait à peine les rochers. Elle s’avança ainsi, en espérant trouver une cavité appropriée.

Soudain, une silhouette sembla bouger. Elle leva son pistolet automatique. La silhouette traversa la tempête et se révéla être un terroriste avec une kalachnikov. Lorsqu’il reconnut le Desert Eagle, il leva son arme. Abby fut plus rapide. Le coup de feu éclaira furtivement la scène. L’homme tomba par terre. Abby s’approcha et lui vola son keffieh. Elle se l’enroula autour de la tête comme un châle.

Elle continua à avancer parmi la tempête. Une silhouette apparut à sa droite, sûrement attirée par le bruit du coup de feu. Abby reconnut la kalachnikov quand il s’approcha. Elle leva son Eagle et tira. La silhouette tomba en arrière et disparut de son champ de vision.

Abby reprit sa progression. Elle avança jusqu’au moment où son genoux tapa contre un rocher. Elle tomba à terre et se fit mal aux coudes. Elle tenta de se relever mais elle glissa et se tordit la cheville. La douleur lui arracha un cri. Elle tomba à nouveau, mais cette fois ci, elle se retrouva derrière le morceau de roc.

Cela lui sauva la vie. Quelques secondes après, elle entendit un vrombissement. Elle tourna la tête vers l’origine du son. Deux phares éclairèrent la tempête de sable et foncèrent vers elle. Une jeep éventra le rideau mouvant de sable et, lancée à pleine vitesse, percuta le morceau de rocher sur lequel Abby était tombée. La voiture se retourna, fit plusieurs tonneaux et s’écrasa sur un autre rocher. Abby entendit un déclic à travers la tempête et une explosion retentit. Elle vit une colonne de flamme surgir de la voiture et s’envoler rapidement dans la tempête. Cette source de lumière lui permit de discerner la silhouette de quelqu’un qui avançait tranquillement au milieu du sable infernal.

Abby ne vit pas de kalachnikov. Elle se releva alors, pensant que c’était peut-être Adil ou quelqu’un qui pourrait l’aider. Elle marcha tant bien que mal vers la silhouette. Son pied lui faisait mal, elle boitait, le sable s’infiltrait partout, lui séchait la gorge et la faisait pleurer, mais elle tint bon et rejoignit la silhouette.

Dès qu’elle fut à un mètre de lui, elle se retrouva dans une bulle à l’intérieur de la tempête. Comme si elle se retrouvait dans le coeur de la tempête. Cette dernière semblait faire le tour de l’homme qui se tenait au centre de la bulle. Il était de dos et habillé comme les touaregs, avec une grande robe bleue marine et un châle noir entourant son visage et ses épaules. Il leva son bras et la bulle s’étendit sur le côté, révélant une cavité protectrice. L’homme semblait indiquer à Abby de se protéger ici.

Elle leva le Desert Eagle vers l’homme.

- Dites moi qui vous êtes, commanda-t-elle.

L’homme se retourna légèrement. Elle vit à travers le châle une partie de son visage. Il avait la peau légèrement bleutée et des yeux dorés. Il semblait rire avec ses yeux. Il fit un clin d’oeil et la bulle sembla éclater. La tempête tomba de plein fouet sur Abby et l’homme disparut dans le rideau de sable.

- Merde ! s’exclama-t-elle.

Elle se dirigea vers la cavité qu’il lui avait montré. Elle la trouva sans mal et se réfugia à l’intérieur. Protégée par le rocher, elle n’était plus à la merci des rafales de sable. Elle regarda la tempête rugir en tenant son Eagle Desert fermement dans sa main.

Les minutes et les heures s’écoulèrent, comme un sablier tournant à l’infini.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Osewalt
Posté le 17/11/2020
Comme prévu j'ai vraiment été embarquée dans ton histoire ! Il n'y a aucun temps mort. J'ai toujours adoré la thématique des temps anciens et de ce qu'ils ont à nous apprendre. J'aurais aimé m'attacher plus à Abby qui paraît tellement sûre d'elle et un poil égocentrique, mais je lui laisse sa chance car je veux savoir ce qu'elle va découvrir. Surtout "l'homme tempête" qui m'intrigue sérieusement. J'ai aussi relever les mêmes coquilles que tes précédents lecteurs, ainsi que de nombreuses répétitions qui m'ont un peu sortie de la lecture. Mais si la forme peut-être maladroite parfois, le fond est vraiment posé. On sent que tu as les connaissances pour avancer ton sujet et c'est vraiment fluide.
Et voilà, c'est tout pour ce chapitre ♥
NaL
Posté le 20/11/2020
Merci pour ton commentaire qui fait plaisir Osewalt !
J'espère qu'Abby va plus te plaire au fur et à mesure de l'histoire.
Ok pour les coquilles et les répétitions, je vais la réécrire donc je ferai attention à ça !
Magique
Posté le 15/05/2020
Bonjour,
L'idée de départ est vraiment géniale ! L'histoire est très documentée, bravo.
J'aime beaucoup le personnage d'Abigaël qui a une pointe d'arrogance, qui est un peut trop sûre d'elle à mon goût et qui en même temps est brillante. Elle a su reconnaître en Adil un jeune esprit vif. J'ai hâte de découvrir la suite et voir comment évolue sa relation avec Adil.
J'ai seulement été surprise par le moment où elle lui prend la main. J'ai trouvé ce passage pas très naturel et qui dénote un petit peu avec le ton global.
Comme l'a souligné CaroH, il reste quelques coquilles. Tu utilises de manière interchangeable professeur et docteur, est-ce voulu ? Si oui, peut-être que ce serait mieux de le préciser dès le début (notamment lorsque tu parles de son CV)
Au plaisir de découvrir la suite et surtout comment évolue Abigaël.
Bonne continuation :)
NaL
Posté le 15/05/2020
Salut Magique !
Merci pour ton commentaire, ça fait plaisir ! Content de savoir que tu apprécies le personnage d’Abigael, il évolue pas mal au cours des prochains chapitre. N’hesite Pas à me donner ton avis :)
C’est noté pour tes remarques ! Je vais tenter de trouver une meilleure manière d’amener le moment où elle prend la main d’Adil. Si j’ai changé entre professeur et docteur, c’est que j’ai oublié d’enlever, faudra que je retravaille tout ça !
J’espere que La suite te plaira :)
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